RIP Marianne Faithfull 1946-2025 The Ballad of Lucy Jordon is a song by American poet and songwriter Shel Silverstein

Aujourd’hui, plus personne ne danse de slow. Il a disparu. Dans les soirées dansantes, les boums, chez les particuliers, en boite de nuit, arrivait toujours le moment où on lançait une ballade – Scorpions, Guns’ and Roses, ou Bryan Adams pour ma génération - et là, le rite le plus important de l’adolescence accomplissait sa magie. Depuis l’invitation - moment dangereux et palpitant-, jusqu’à la fin de la chanson, le mouvement était simple : un pivot à deux, des petits pas sur place, l’essentiel de la concentration étant occupé à évaluer la bonne distance entre les corps, à savoir où poser les mains, et quand croiser le regard. Pour certains, cela pouvait se terminer en baiser. Mais la plupart du temps : juste avec le rouge aux joues et le cœur tachycarde. Mais aujourd’hui donc, plus personne ne danse de slow, et surtout pas les adolescents. Et c’est mauvais signe. Car il y avait là quelque chose d’un rapprochement ultra codifié des corps, qui relevait de ce long processus de civilisation des mœurs qu’a décrit le sociologue Norbert Elias et qui consiste, depuis des siècles, à canaliser par des codes sociaux nos pulsions, et nos barbaries émotionnelles. « Un moine et un boucher se bagarrent à l'intérieur de chaque désir. », écrivait Cioran. Je ne peux m’empêcher de questionner le choix d’une société, où le slow disparaît et où, dans le même temps, l’exposition des jeunes à la pornographie se fait de plus en plus tôt. En 2023, selon l’IFOP, plus d’un garçon sur trois avait déjà surfé sur un site X avant l’âge de 12 ans, soit trois fois plus qu’en 2013. Il faudrait interroger des psychologues, des sociologues, sur ce que peut entraîner ce mouvement simultané d’avènement du trash déréalisée d’une part, et de disparition dufr��lement des corps codifié de l’autre.

Dix coudées au-dessus du piapia politicien, des pseudo expertises et des fokonyaka, le patron de Michelin, Florent Menegaux, livre 1 diagnostic précis et argumenté sur les causes du déclin industriel de l’Europe et de la France. Et c’est accablant Écoutez

🥵😄 C'est rare de voir un abandon avec les deux joueurs qui ont le sourire. Mec, j'ai tout donné, j'en peux plus. Mec, t'es un monstre.

🔴 Officiel : voici les 33 otages qui seront libérés dans les prochaines semaines

📣 Le discours de @ClaudeMalhuret en réponse à la déclaration de politique générale #DPG de François @Bayrou ⤵️

1er janvier 1901 Elysée 1er Déjeuner du 1er jour du 20ème siècle Omelette aux Rognons Filets de Sole Marguery Tournedos Rossini aux Truffes Poulet sauté Parmentier Côtelettes d'Agneau Soubise Faisans truffés rôtis Pâté de Foie gras à la Gelée Salade Laitue Cèpes à la Bordelaise

Les agressions des Maires sur le terrain n’est que le reflet d'un climat toxique fomenté par certains responsables politiques, notamment ceux de La France Insoumise, qui se permettent d'insulter des ministres et d'encourager des lynchages médiatiques (ci-dessous une députée LFI). Ces comportements irresponsables alimentent la haine et la violence, créant un environnement où l’agression devient presque banalisée. Il est impératif de dénoncer ces agissements avec fermeté. Les instances politiques doivent prendre leurs responsabilités et condamner vigoureusement ces actes d'agression, tout en instaurant un discours politique qui prône la dignité et le respect. Il est temps de mettre un terme à cette dérive et de restaurer un débat politique sain, où chacun peut exercer son mandat sans crainte d'être agressé.