#Niger 🇳🇪 Environ un millier de nouvelles recrues ont rejoint les rangs des forces armées affiliées au #CNSP Environ un millier de militaires ont complété leur formation au Centre de formation de Dossou au Niger Ils ont prêté serment et ont rejoint les forces armées du pays⤵️

Burkina Faso : Une souveraineté récupérée, une voix qui compte Ce renouveau de la souveraineté se manifeste non seulement par la stabilité retrouvée au niveau intérieur, mais aussi par une diplomatie active,

🇲🇱| #Mali: Images have been released by #JNIM of its Tariq bin Zayed training camp in the #Kidal region.

#AESinfo | #BurkinaFaso 🇧🇫 Le Burkina Faso dévoile ITAOUA, sa première voiture électrique révolutionnaire : une prouesse technologique et un symbole de fierté nationale Itaoua, la toute première marque de voitures électriques assemblées au Burkina Faso, a été dévoilée. Cette prouesse technologique, 100% électrique et alimentée à l'énergie solaire, offre une autonomie impressionnante de 330 kilomètres après seulement 30 minutes de charge. L'usine de production, située à Ouaga 2000, est le fruit d'un projet ambitieux qui devrait transformer l'économie du pays et créer des milliers d'emplois. Le lancement de la voiture électrique Itaoua marque une étape importante dans le développement de l'industrie automobile burkinabè. Cette initiative audacieuse témoigne de l'engagement du pays en faveur de l'innovation et des énergies renouvelables. La voiture électrique Itaoua est bien plus qu'un simple moyen de transport. Elle représente une véritable révolution pour le Burkina Faso, un symbole de progrès et de fierté nationale. Ce projet ambitieux devrait non seulement stimuler l'économie locale, mais également contribuer à la protection de l'environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre. Le Burkina Faso se positionne ainsi comme un acteur majeur dans le domaine des véhicules électriques en Afrique de l'Ouest. Cette réalisation témoigne du potentiel du continent africain en matière d'innovation et de développement durable.

Un tiktokeur invité par TCHIANI pr entretenir les grands commandements de l'armée.🫡🫡😬🤡😹🐶🐷🐕

#AESinfo | #Niger 🇳🇪 « Nous ferons tout pour que le Sahel ne soit pas une zone d'insécurité », mais plutôt « une zone de prospérité » (Ministre des Affaires étrangères du Niger) Le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, Bakary Yaou Sangaré, a déclaré que les diplomates de l'AES feront « tout pour que le Sahel ne soit pas une zone d'insécurité », mais plutôt « une zone de prospérité ». Le Ministre Sangaré a rappelé avoir porté le message du Président du CNSP devant la 79ème Assemblée générale de l'ONU, un message de dignité du Niger qui se résume ainsi : « les laissés pour compte n'ont qu'à compter sur eux-mêmes, il n'y a personne qui viendra faire les choses à votre place, nous ferons tout pour que le Sahel ne soit pas une zone d'insécurité, elle sera une zone de prospérité ». Par ailleurs, a poursuivi le Ministre des affaires étrangères, « nous avons expliqué à la communauté internationale l'injustice à propos des coups d'État, mais que les gens sont traités indifféremment » soulignant en plus que le refus à la délégation nigérienne de prendre la parole à la 78ème session de l'Assemblée générale des Nations Unies était du fait d'une « personnalité au sein de ces organisations qui s'était personnellement impliquée ». « Quand nous sommes revenus, nous n'avons pas croisé les bras, on s'est battu parce que nous sommes membres des Nations Unies, et ce qui s'était passé, c'était une violation des textes » a expliqué le Ministre Sangaré qui a continué la lutte en attaquant parce qu'il s'agit « d'une question de droit, le Niger est membre statutaire des Nations Unies, on s'est battu, et on n'a gagné parce qu'à la 79éme assemblé générale nous avons participé pleinement ».

#Niger 🇳🇪 🏫 Lancement d’un vaste projet de développement des infrastructures de l’Université de Niamey ⤵️

#Mali: La suspension des importations de farine de blé et de pâtes alimentaires a laissé un goût amer aux consommateurs, confrontés à des produits de qualité inférieure et souvent plus chers.#Mali

#Niger 🥷 Insécurité 🥷 #Tillabéri🔥 Dans la nuit du 5 au 6 février 2025, une incursion de l’EIGS a entraîné la destruction totale de la mairie de #Diagourou, située au sud de #Téra, dans la région de Tillabéri. @hamid_gade

Mali 🇲🇱#Économie Le gouvernement Malien, par l’intermédiaire de son ministre de la Santé lance un appel à la solidarité mondiale pour mobiliser des fonds en faveur du Plan de Réponse Humanitaire pour répondre aux besoins urgents des populations maliennes.

Niger 🇳🇪 une embuscade tendue par un "groupe de criminels" a tué au moins 10 soldats nigériens près de la frontière avec le Burkina Faso lundi, a déclaré la junte militaire au pouvoir dans un communiqué.

#Mali Selon un compte Telegram russe, un blindé « #Spartak » a été touché par un engin explosif. La source laisse entendre que ce véhicule fait partie du grand convoi arrivé à Bamako pour l' #Africa_Corps. Via @FpAnalisis @StanSadkiewicz @abdalaag2022

#Mali #Ségou #AES Ce mardi 4 février 2025, au Centre Culturel Kôrè de Ségou, a eu lieu la signature historique de la convention de la politique culturelle commune des États de la Confédération de l’AES, en marge de la Semaine de la Fraternité de l'AES.

Niger 🇳🇪 la junte au pouvoir ordonne, avec effet immédiat, la fermeture des bureaux du CICR et le départ de son personnel expatrié. Aucune raison n'a été donnée pour expliquer cette décision. Alors que la crise humanitaire s'aggrave dans le pays faisant craindre le pire.

🇲🇱🇳🇪🇧🇫 HRW a accusé les juntes du Sahel de graves violations des droits humains, des atrocités., des abus à l’encontre des civils, les restrictions des droits civils et politiques. Ils ont quitté la CEDEAO pour ne pas rendre compte de ces crimes selon HRW

La #Russie met fin aux participations directe de ses troupes aux combats en #Afrique. La Russie s’apprête à repenser sa stratégie militaire en Afrique en mettant fin à l’implication directe de ses troupes dans les combats contre les groupes armés et en se concentrant sur la formation des forces armées locales, selon un rapport publié le vendredi 31 janvier 2025 par le think tank indépendant américain Quincy Institute for Responsible Statecraft.

Dans un contexte difficile, depuis qu'il a écarté plusieurs partenaires du Mali, le gouvernement de transition souverainiste, dans une tentative désespérée, essaie de presser les Maliens, déjà soumis à de rudes épreuves, en leur imposant de nouvelles taxes. De quoi s'agit-il ? En effet, lors du conseil des ministres de ce mercredi 5 février 2025, il a été procédé à la relecture du code général des impôts, instituant de nouvelles taxes et modifiant le taux de la TARTOP. 1. La TARTOP est une taxe née en 2012-2013, avec un taux initial de 5 %. Elle s'applique à toute personne titulaire d'une licence d'exploitation du réseau des télécommunications ouvert au public, délivrée par ou pour le compte de l'État du Mali. Cette taxe est assise sur le chiffre d'affaires des entreprises de télécommunication. Son taux a désormais été revu à 7 %, portant le taux global des taxes spécifiques appliquées au secteur des télécommunications à 10 % au Mali, contre 7 % au Togo, 8 % au Sénégal, 9 % au Niger, 10 % au Bénin, 10,5 % au Burkina Faso et 11,2 % en Côte d'Ivoire. 2. La Contribution spéciale de solidarité est assise sur le chiffre d'affaires mensuel hors taxe sur la valeur ajoutée des entreprises soumises à l'impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux ainsi qu'à l'impôt sur les sociétés. 3. La taxe spéciale sur la consommation de certains biens et services, notamment les boissons alcoolisées. 4. Le prélèvement spécifique sur : a) La consommation des services commerciaux des communications téléphoniques (fixes et mobiles), notamment les rechargements de crédits téléphoniques et les abonnements. b) Les opérations de retrait dans le cadre des transferts d'argent via le téléphone portable (mobile money). Ce quatrième point touchera le citoyen lambda qui, depuis cinq ans, a du mal à joindre les deux bouts, sous les coups de boutoir des autorités qui ont chassé plusieurs partenaires pourvoyeurs d'emplois et qui font face à une crise énergétique provoquée, mettant des milliers de chefs de famille au chômage et dans la précarité. Le dernier forcing concernant le secteur minier n’a pas encore fini de générer des milliers de chômeurs, en plus de nos paysans agriculteurs spoliés de leurs terres au profit des sociétés chinoises, le tout dans une opacité sans pareille. Ce sont ces Maliens-là qui devront désormais serrer la ceinture pour financer les désirs de nos colonels devenus généraux. Désormais, sur chaque recharge de 1 000 F, vous n’aurez que 900 F sur votre compte, l'État prélevant 100 F. Sur chaque transaction Orange Money ou Moov Money, vous paierez désormais le double : 1 % pour l'opérateur et 1 % pour l'État. Les frais de retrait de 10 000 F passeront de 100 F à 200 F, avec un prélèvement de 100 F par l'État. L'institution de nouvelles taxes et cette hausse de taux sont des signes évidents que notre pays traverse de grandes difficultés financières et économiques. La résilience demandée est poussée à son paroxysme ; l'État, dans l'incapacité d'apporter des réponses concrètes aux besoins essentiels des Maliens, puise dans les poches de ces derniers. Au lieu de diminuer considérablement le train de vie de l'Etat, notamment la présidence, le gouvernement, le CNT qui vivent dans l'opulence, nos autorités s'attaquent aux maigres revenus des populations. Entre eux et les citoyens l'exemplarité doit-elle commencer par qui? C'est une situation sans précédent où l'incapacité notoire de mobiliser des fonds après le départ des partenaires ne peut qu'amener les autorités prélever à piocher dans les proches des pauvres... Parallèlement, ils perdent leur emploi à cause des tensions alimentées par le même État avec les entreprises et ONG étrangères. Ils n'ont plus d'électricité pour faire fonctionner les entreprises et assurer le minimum, tandis que les soudeurs, tailleurs et menuisiers sont contraints de devenir conducteurs moto-taxis pour nourrir leur famille. 1/2 #Bèki_Takè