Le système médiatique essaie de nous enfoncer Mark Carney dans la gorge. Ne soyez pas dupes. Cet homme est la caricature de l'élite cosmopolite transnationale voyant les pays comme des hôtels et les populations comme de la matière humaine indiférencée transposable d'un endroit à l'autre de la planète. De plus, son accointance avec le capitalisme vert qui cherche à promouvoir l'écologie n'est pas désintéressée. Ancien employé pendant 13 ans de Goldman Sachs, banquier central de la Banque du Canada et de la Banque d'Angleterre, il est surtout un grand promoteur des fonds spéculatifs écolos dans tous les grands réseaux supranationaux auquel il appartient : Groupe Bilderberg, Forum Économique Mondial, Groupe des Trente. Il a été nommé en 2020 vice-président de Brookfield Assets Management qui gère des portefeuilles « verts ». Comme par hasard, une semaine après avoir été nommé conseiller spécial de Trudeau, cette entreprise a demandé un prêt de 10 milliards de dollars au gouvernement canadien pour créer un fonds d'investissement « vert ». Carney va vouloir enfoncer le Canada dans l'écologisme non pas pour des raisons environnementales ou morales, mais pour s'enrichir lui et ses amis de la haute finance internationale qui font du green washing à coup de produits financiers « écolos ». De plus, au niveau idéologique, il a tous les mêmes travers que Trudeau, immigration massive et multiculturalisme radicalisé inclus. Pas plus tard qu'en juin 2024, il a été conférencier pour l'Initiative du Siècle, organisation qui vise à faire du Canada un pays de 100 millions d'habitants en 2100 par l'immigration massive. Le titre de sa conférence ? « Construire pour la croissance. Logement et infrastructures pour une nation en expansion. » La croissance et l'expansion démographique par l'immigration de remplacement, bien sûr. Il serait intéressant que les journalistes lui posent des questions à ce sujet au lieu de lui cirer les pompes comme ils le font depuis maintenant plusieurs semaines. Mark Carney est l'incarnation parfaite de ses élites internationales - il possède la triple nationalité canadienne, britannique et irlandaise, la dernière sans doute pour être citoyen de l'UE - qui veulent remplacer les peuples par l'immigration massive au nom du culte du PIB, tout en nous vendant la pureté morale écologiste et la tolérance envers les fondamentalistes religieux du tiers-monde. Qu'on n'aime pas Trump pour mille et une raison est une chose. Qu'on se jette dans les bras de ce représentant du cosmopolitisme déraciné en est une autre. En espérant que les patriotes québécois lucides ne tombent pas dans le piège tendu par la coalition médiatique de Radio-Canada (véritable canal de propagande du PLC), de Québecor, de Cogeco et cie, qui essaient de nous vendre ce « prophète de la finance » comme un saint descendu du ciel pour sauver le Canada de la menace trumpiste. Carney, ce sera Trudeau, mais plus intelligent, plus propre, plus crédible, et donc beaucoup plus dangereux. Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent. #polqc #polcan