Lettre à Kobe 5 ans que Kobe Bryant nous a quitté... 5 ans qu'il est toujours dans les têtes de la plupart d'entre-nous. 5 ans.... je republie ma " Lettre à Kobe", parue dans le #5Majeur en mémoire à Kobe Bryant ... comme un hommage, comme un souvenir... Kobe J’aurais pu commencer ce texte par un classique mais logique «Dear Kobe». Je préfère un simple Kobe, en signe, pour moi, de profond respect. Cela va faire deux jours que je suis secoué par la tragédie de ton décès, de celui de Gianna, de ses copines (Alyssa, Payton), des parents de celles-ci (Sarah Chester, John et Keri Altobelli), de la coach Christina Mauser, du pilote, Ara Zobayan. Les mots sont difficiles à trouver, les mots justes surtout. Je prends le parti de te tutoyer. Pourtant, nous ne nous connaissions pas, au juste deux «rencontres» éphémères mais, pour moi, intenses. Mais par ce tutoiement, j’ai envie de t’envoyer un message. Dimanche soir, après avoir compris qu’il n’y avait aucune blague à cette annonce tragique (oui, j’ai même cherché quelle était la date des «poissons d’avril» aux Etats-Unis, incapable d’admettre qu’il était possible que toi, l’indestructible, l’inhumain de balle orange, puisse disparaître ainsi, à 41 ans, d’une manière aussi brutale que tragique), j’ai été voir mon grand ado de 16 ans. Je lui ai dit, posant une main sur son épaule, sonné, «Kobe est mort». Il m’a regardé, pensant à une blague, resté silencieux, en attendant que je lui confirme que c’était une blague. Quand il m’a regardé dans les yeux, il a compris, compris que c’était vrai. Mon grand est sensible. Toi qui était un père aimant de ses quatre filles, tu devines, d’où tu es aujourd’hui, comment une personne sensible peut réagir. Il s’est retenu, puis m’a dit : «Mais, c’était mon joueur préféré, mon idole», comme si, ce statut d’idole aurait dû te prévenir de ne pas prendre ce vol ou de retarder l’envol de cet hélicoptère. Deux jours plus tard, en écrivant ces quelques mots, les larmes d’incompréhension, de tristesse, de rage, sont encore présentes. Je n’ai pas su quoi lui dire, car j’étais moi-même bien embarrassé. Il te connaissait à travers tes exploits, tes paniers, ta personnalité, par les histoires que je lui racontais sur toi. Son rêve était d’avoir un maillot de toi, tout simplement. D’aller à Los Angeles aussi, pour marcher sur tes traces, juste passer devant la Mamba Academy, errer devant le Staples Center, imaginer un match où tu serais le héros, comme il y en eut si souvent, comme ton dernier, que nous avions regardé ensemble. Kobe, c’est très dur de parler de toi au passé, très dur d’accepter. En tant que père, j’ai encore plus de peine à voir ton joyau, Gianna, être victime, elle aussi, de cet accident. J’imagine les cœurs arrachés de ta femme, Vanessa, de tes trois filles, mais aussi de ces deux autres familles dévastées. Depuis deux jours, je lis les hommages, magnifiques, de chacun, des stars, des anonymes, de confrères aussi. C’est logique, tu étais, pour beaucoup, la NBA, Los Angeles, le basket. Personnellement, j’ai envie de me souvenir que la première fois que je t’ai «connu», je t’ai détesté. Oui. Ta draft avait chassé Vlade Divac des Lakers, la franchise que je suivais depuis le début de mon adolescence. Divac, je l’adorais, un pivot européen, technique, qui réussissait en NBA, c’était, à l’époque, rare. Et toi, tu débarquais, sans passer par la NCAA et provoquais le trade de Divac aux Hornets. En soi, j’étais pas mécontent que le pivot débarque à Charlotte, ma seconde franchise préférée. Mais, franchement, en 1996, en France, aux balbutiements d’internet, il était, pour moi, impensable qu’un gamin, plus jeune que moi, chasse un de mes joueurs fétiches de ma franchise. C’était égoïste, j’avoue. C’était très mal vu, j’avoue aussi. Mais je ne suis pas Jerry West, ça se saurait. J’avoue, à tes débuts, j’étais satisfait quand tu te foirais, quand tu ratais des shoots importants ou que tu te trouais en playoffs. Il m’a fallu un peu de temps pour comprendre, pour accepter et ne plus nier l’évidence même de ton immense talent. Oui, si Jordan devait avoir un «fils», cela ne devait être que toi. Le mimétisme au fil des années était juste évident, que ce soit sur le parquet, dans tes moves, tes shoots, tes attitudes, ou aussi en dehors, dans ton comportement, parfois tu l’admettras volontiers, indélicat avec tes coéquipiers (Smush Parker, remember). Tu voulais gagner, marquer l’histoire, quitte à passer pour un connard (pardonne moi ce mot trivial) auprès de certains. Je me souviens que tu résumais parfaitement cela quand on te demandait pourquoi certains ne t’aiment pas : «On dit que je suis arrogant. Mais ce que je suis sur le parquet, ce n’est pas ce que je suis en dehors, les gens ne me connaissent pas». Tu avais raison, le souci était que, pour te connaître, il fallait pouvoir t’approcher, ou connaître des personnes qui t’avaient côtoyées qui puissent dire «Non, Kobe n’est pas ainsi. Ce n’est pas le gars qui est décrit dans les médias». J’admets, le soir de tes 81 points, je voulais plus, je rêvais que tu ailles chercher Wilt et ses 100 pions, un score d’un autre temps que toi, passionné du jeu et de son histoire, pouvait aller chercher. Pourquoi ne l’as tu pas fait ? Nous sommes beaucoup, je crois, à estimer que ta présence en NBA nous a beaucoup apporté, nous a aidé à conserver notre job, à écrire encore et encore sur toi et tes exploits, tes échecs aussi. Mais même dans l’échec, tu avais cette capacité folle à rebondir et dégager ce mot abject (échec) de ton vocabulaire. Ça en devenait même frustrant pour moi, simple humain, de te voir te relever toujours. C’était aussi très motivant. Te connaissant, c’était sans aucun doute le but recherché. En développant ta «Mamba Mentality», tu as marqué des générations entières de joueurs, de fans, d’humains. Pourtant, même en taffant comme un dingue, il y a bien des moments où je ne parviens pas à me surpasser. Mais tes mots restent en plus de tes images, vidéos, photos. Kobe, deux jours... deux jours que tu n’es plus là, et pourtant... tu l’es toujours, présent, dans ma tête, dans mes pensées, dans celles de ces millions de fans, d’amoureux du basket. Comme beaucoup, je t’ai imaginé te relever, marcher péniblement et nous dire, «nous sommes là». Je sais, je rêve, mais les rêves, de fois, font du bien à notre réel. Là où tu es, en lisant ces hommages, tu dois avoir le sourire, ce sourire qui m’a marqué ces derniers mois quand je le voyais à la télé. Ce sourire doux et apaisant d’un homme heureux, d’un père fier de sa famille. Je ne peux, aujourd’hui, que te dire un GRAND MERCI pour tout. L’héritage que tu laisses au basket est immense, celui que tu nous laisses à tous l’est encore plus. Merci Kobe, repose en paix avec ta belle Gianna, dans tes bras, pour toujours. Thanks Kobe #kobe #kobebryant #gianna #kobegianna #nbalegend #NbaIcon #Lakers

@Gylbret @_PacersTalk @PacersFRA @IndyPacersFR

@SorareBargains @Gylbret @_PacersTalk @PacersFRA @IndyPacersFR cet auto est juste sublime 😂😂

On va écouter avec ça avec la plus grande attention !!!! go go go

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ça, c'est une excellente nouvelle pour Moussa Diabaté, quelle persévérance. très heureux pour lui. #nba #moussadiabate #hornets

@laurentlokoli le souci ds cette situation, c'est qu'on entend tout, donc, ceux qui ne connaissent pas le sport vont se dire que le coach est un connard

@mourning_zo @50NuancesDeNBA ce n'est jamais simple qd tu as passé ta vie à coacher.

@0101100101X @50NuancesDeNBA je ne pense pas en effet, s'il revenait, je serais plutôt angoissé pr lui et sa santé. Pas certains que les assurances US soient d'accord par ailleurs

Du même avis que @GNewsport , une de mes covers préférées de 5Majeur all time. Magique

@GNewsport moi aussi, c vraiment une de mes covers préférées all time. elle est magnifique

@NikolaVucevic

@MaximeAubin1 Il a l'air épuisé. je lisais qu'il faisait des allergies à cette période de l'année, tu confirmes ? A Paris, aux entraînements, je le trouvais fatigué. par ailleurs, est-ce qu'à SA, le coaching de Mitch est remis en cause ?

RT @CTSunPR: PRESS RELEASE: Connecticut Sun Signs Leïla Lacan Details:

allez, la place de leader inzepocket, parfait. Maintenant, on déconne pas et on va au bout !!! #allezbordeaux #girondins

RT @FreeFoot: CAPIIIII CÉDRIC YAMBERÉÉÉÉÉ 💪💪 Les @girondins doublent la mise sur un nouveau corner ! ALLEZ LÀ 💙🤍 #FCGB #Girondins @tv7_su…

RT @FreeFoot: YANIS MERDJI POUR LE 3-0 🔥🔥 La galette d'Amadou Diallo déposée sur la tête de Merdji 🤤 #FCGB #Girondins @tv7_sudouest @giro…

RT @screentime: Hubie Brown will be calling his final NBA game this Sunday ▪️ 2x Coach of the Year ▪️ 91 years old ▪️ Called games for E…