Pierre Sautreuil
@pierresautreuil
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Journaliste au service international de @LaCroix - En charge du suivi de la diplomatie. Toujours un œil sur la Russie, l'Ukraine, l'espace post-soviétique
Paris
Joined July 2012
RT @AudrandS: J'ai répondu à quelques questions de @pierresautreuil pour @LaCroix à propos de la situation en Ukraine. En trois mots : oui…
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@amenka Dear Alexandra, I am a journalist for the French daily newspaper La Croix, covering Russia. I would like to ask you a few questions. Could you please follow me so we can DM ? Thank you in advance !
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La Douma vient d'adopter une loi permettant de retirer des organisations de la liste des organisations terroristes (apparemment, c'était auparavant impossible). Un pas de plus vers la normalisation des relations avec les Talibans, mais aussi avec HTC.
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@HannaNotte Dear Hanna, I am a journalist for the French daily La Croix, covering Russia. I would like to ask you a few questions on the consequences of the fall of Assad for Russia. Could you please follow me so we can DM ? Thank you in advance !
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A voir si cette position évolue. Il n'est pas à exclure que des frappes aient lieu sans une prise de parole les autorisant de façon plus explicite, le principe ayant été posé au mois de mai. 3/
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RT @fabrice_deprez: Typical profile of a Russian soldier killed in Ukraine, per @bbcrussian's analysis: - Early 2022: 21 years-old contract…
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@AudrandS Effectivement, ce n’est pas « une autre » mais « d’autres » méthodes qui pourraient être adoptées !
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D'ici là, Kiev devra affronter 2 difficultés majeures : le manque d'hommes, et le risque d'effondrement de son réseau énergétique. Mark Rutte a raison quand il affirme que l'hiver qui s'annonce sera "le plus dur" pour l'Ukraine. 10/
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Est-ce que des pourparlers stériles amèneraient Trump à renouer avec l’aide à l’Ukraine ? A voir. Cela pourrait être conditionné à une participation plus forte des Européens. Un « deal » que Donald Trump pourrait présenter comme gagnant à ses électeurs. 9/
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Il y a fort à croire que Moscou ne se satisfera pas non plus de concessions territoriales, l’objectif stratégique de Vladimir Poutine restant la subjugation politique de l’Ukraine – incompatible avec l’octroi de garanties de sécurité sérieuses à Kiev. 8/
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L'incertitude est forte et c'est Trump qui tranchera. Mais quand bien même les négociations devaient s'ouvrir, rien n'assure qu'elles aboutiraient. D'abord parce que Moscou n’a pas intérêt à un cessez-le-feu qui offrirait un répit à une armée ukrainienne en difficulté. 7/
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A la place, Washington pourrait opter pour un mélange de carottes et de bâtons contre Kiev et Moscou. Mike Waltz, futur conseiller à la Sécurité nationale, a défendu la mise sous pression de Moscou, avec de plus fortes sanctions + armes pour Kiev. 6/
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Deuxième point d’interrogation : la façon dont Trump "invitera" les belligérants à négocier. La "coupure des allocs" promise par Donald Trump Jr serait le pire scénario pour Kiev. Mais une autre méthode pourrait être adoptée. 5/
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Les Européens vont sûrement faire preuve de créativité, notamment en réorientant des budgets déjà votés comme les fonds de cohésion. Ils ne pourront cependant pas faire l'économie d'une hausse des dépenses militaires s'ils veulent durer dans l'effort. 4/
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L'Europe d'abord. La défaite de Kamala Harris encourage les Européens à accroître leurs efforts de financement. Mais ils doivent gérer un contexte économique contraint et les risques de division. 3/
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Pour Kiev, le retour de Trump équivaut à une équation à trois inconnues : -la résolution des Européens à prendre le relais -la méthode que Trump adoptera pour amener la Russie et l’Ukraine à négocier -le succès ou non de ces négociations. 2/
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