Pauvre petite Louise. Je pense à mes enfants quand je la vois, et je me dis que je ne serais pas du tout complaisant si je trouvais le mec/la femme qui a fait ça avant les flics. Quitte à finir en taule, ma vie serait fichue.

Taxer toujours pour payer toujours plus.

@agric15 Taxer toujours pour payer toujours plus.

Est-ce qu'il va garder la cantine de Gérard Larcher ?

@ojim_france Est-ce qu'il va garder la cantine de Gérard Larcher ?

J'ai enregistré ça dans ma longue liste de Memes 😂

D’un côté ça me fait chier que ça dégage pas, mais de l’autre côté quand ça permet à #LFI d’avoir les nerfs ça me fait quand même plaisir.

@LysandreBL Elle fait comment pour vivre qu’avec 6000€ ?

Pauvre petit choux, il se plaint de jouer dans la cours des grands ?

@ClaireMLejeune Pauvre petit choux, il se plaint de jouer dans la cours des grands ?

Le gouvernement annonce 109 milliards d’euros d’investissements pour l’intelligence artificielle. Magnifique sur le papier. Mais posons-nous les vraies questions. - Qui va vraiment bénéficier de cet argent ? - Les entreprises qui innovent et créent de la valeur ? - Ou les technocrates, cabinets de conseil et autres parasites qui vivent de subventions ? D’où vient cet argent ? - Est-ce des investissements privés, signe d’un véritable engouement pour la France ? - Ou est-ce encore l’argent du contribuable, prélevé de force pour être redistribué à ceux qui savent flatter le pouvoir ? Parce qu’en France, on connaît la musique. L’État annonce des milliards, crée des comités, multiplie les réglementations… et au final, les vrais entrepreneurs se retrouvent coincés sous une montagne d’administratif et de fiscalité. Les États-Unis et la Chine laissent leurs champions grandir. En France, on taxe, on régule, on subventionne les copains… et on s’étonne d’être largués. Alors, ces 109 milliards, investissement d’avenir ou racket organisé ?

Le gouvernement annonce 109 milliards d’euros d’investissements pour l’intelligence artificielle. Magnifique sur le papier. Mais posons-nous les vraies questions. - Qui va vraiment bénéficier de cet argent ? - Les entreprises qui innovent et créent de la valeur ? - Ou les technocrates, cabinets de conseil et autres parasites qui vivent de subventions ? D’où vient cet argent ? - Est-ce des investissements privés, signe d’un véritable engouement pour la France ? - Ou est-ce encore l’argent du contribuable, prélevé de force pour être redistribué à ceux qui savent flatter le pouvoir ? Parce qu’en France, on connaît la musique. L’État annonce des milliards, crée des comités, multiplie les réglementations… et au final, les vrais entrepreneurs se retrouvent coincés sous une montagne d’administratif et de fiscalité. Les États-Unis et la Chine laissent leurs champions grandir. En France, on taxe, on régule, on subventionne les copains… et on s’étonne d’être largués. Alors, ces 109 milliards, investissement d’avenir ou racket organisé ?

Toi, tu ne travailles pas, pourtant tu as de quoi vivre.

@JLMelenchon Toi, tu ne travailles pas, pourtant tu as de quoi vivre.

@lechodubitume @EmmanuelMacron Ah, on est passé de 109 à 130 milliards 😂 Source t'inquiète, c'est moi qui le dis.

@MAnthoParis Faut qu'elle pète un coup, la petite.

L'article 6 de la Constitution française stipule : "Le Président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs." Disposition a été introduite par la révision constitutionnelle du 23 juillet 2008. Si ca devrait changer, il faudrait modifier la Constitution, ce qui est possible par deux moyens : Un référendum : Le président propose une modification constitutionnelle qui est soumise au peuple par référendum (article 11 de la Constitution). Le Congrès : Le texte est voté par l'Assemblée nationale et le Sénat, puis doit être adopté à au moins 60% des suffrages exprimés par le Parlement réuni en Congrès à Versailles (article 89). Il doit dégager, donc il dégagera. 🔥

La France est un pays en perpétuelle fuite en avant budgétaire. Toujours plus d’aides, toujours plus de dépenses publiques, toujours plus de dettes. Et toujours moins de responsabilité. Les Français sont-ils devenus des enfants gâtés, incapables de voir la catastrophe arriver ? Le pays croule sous les déficits, mais réclame toujours plus d’argent public comme si les caisses étaient infinies. Aides sociales en pagaille, subventions à tout-va, sauvetage d’industries en faillite, et cerise sur le gâteau : une bureaucratie tentaculaire qui vampirise la richesse produite. Tout cela payé avec… de la dette. Chaque Français naît aujourd’hui avec une ardoise de plus de 40 000 euros sur la tête. Mais personne ne veut entendre parler d’efforts, de coupes budgétaires ou de réduction du train de vie de l’État. Les Français sont-ils encore capables de comprendre que l’argent public, c’est leur argent ? Ou préfèrent-ils continuer à vivre dans l’illusion que la fête peut durer éternellement ?

La France est un pays en perpétuelle fuite en avant budgétaire. Toujours plus d’aides, toujours plus de dépenses publiques, toujours plus de dettes. Et toujours moins de responsabilité. Les Français sont-ils devenus des enfants gâtés, incapables de voir la catastrophe arriver ? Le pays croule sous les déficits, mais réclame toujours plus d’argent public comme si les caisses étaient infinies. Aides sociales en pagaille, subventions à tout-va, sauvetage d’industries en faillite, et cerise sur le gâteau : une bureaucratie tentaculaire qui vampirise la richesse produite. Tout cela payé avec… de la dette. Chaque Français naît aujourd’hui avec une ardoise de plus de 40 000 euros sur la tête. Mais personne ne veut entendre parler d’efforts, de coupes budgétaires ou de réduction du train de vie de l’État. Les Français sont-ils encore capables de comprendre que l’argent public, c’est leur argent ? Ou préfèrent-ils continuer à vivre dans l’illusion que la fête peut durer éternellement ?