Il y a maintenant plusieurs années, le mufti de Médine avait déjà remarqué que Ferkous s’enfonçait dans l'égarement à travers ses différentes fatwas criminelles. Cheikh As-Suhaymī avait exhorté les gens de science en Algérie à le conseiller afin qu’il revienne sur ses erreurs. Mais malheureusement, Ferkous s’est enorgueilli et a refusé les différents conseils des savants d’Algérie et d’ailleurs. Nous sommes désormais en 2025, et Ferkous s’est encore davantage enfoncé dans l’égarement. Qu’Allāh nous en préserve ! 🎙Le mufti de Médine, Cheikh Sālih As-Suhaymī : « Il y a un livret, que des gens diffusent, d’un certain prêcheur dans l’un des pays musulmans. Même s'il ne fait pas partie des khawarij – si Allāh le veut, il ne fait pas partie des khawarij –, mais il s'est trompé et est tombé dans la croyance des khawarij dans la réprimande de, quoi ? La réprimande publique envers les dirigeants. Il s’est en effet trompé sur cela, et nous ne l’approuvons pas dans cela. Même si c’est un étudiant en science, peut-être est-il méritant, mais ces derniers temps, il émet des fatwas pour lesquelles on n’est pas d'accord avec lui, dans un des pays musulmans. Parmi elles, cette question, c’est-à-dire il croit qu’il est permis de réprimander les dirigeants en public. Or, il s'agit du premier phénomène qui a débuté en islam, le jour où les khawarij se sont révoltés contre le commandeur des croyants, 'Uthmān – qu'Allāh l'agrée. Et ce phénomène ne fait aucunement partie de la religion d'Allāh. Aucunement ! Cela ne fait pas partie de la religion d'Allāh. Il faut conseiller celui-ci. Si l'un des habitants de ce pays nous écoute, qu'il conseille ce frère, qu'Allāh le guide vers le convenable. Il a une autre fatwa, en réalité, dans laquelle il a fait une énorme erreur. Je vois même que c’est une erreur criminelle. Il émet la fatwa que la distanciation, lors du coronavirus, invalide la prière. Cela est un égarement. Il a divergé en cela avec les grands savants de la communauté ! Il l'a uniquement inventé de lui-même, ou il a imité en cela quelqu'un d'autre, ou il a fait un effort de réflexion (ijtihād) et l’exactitude n’a pas été de son côté dans cet effort de réflexion, et il ne fait pas partie des gens de l'ijtihād. Les gens de l’ijtihād sont les grands savants éducateurs, qui éloignent du Livre d’Allāh la déformation des extrémistes, l’usurpation des menteurs et l’interprétation des ignorants. Mon point de vue : s'il y a quelqu’un de ce pays, que je ne nomme pas, mais il est sûr qu'ils ont compris mon propos… Donc, s'ils le connaissent, qu'ils lui conseillent de ne pas propager ces fatwas marginales qui sont contraires aux fatwas des savants de la communauté. Et « celui d'entre vous qui a le plus d’audace pour la fatwa, en a le plus pour le feu », comme le disent certains salafs. Fais-y donc attention. »