#LeMotDuDéputé Pour une Allocation Sociale Unique en France ! La vérité doit être dite et rappelée : le travail est au cœur du pacte républicain. Le contrat social de la Nation est articulé autour du travail. En France, parce que le travail finance la protection sociale par les cotisations sociales prélevées chaque mois sur le bulletin de salaire, il doit être considéré comme une valeur régalienne. Or, cette valeur est abaissée par un système de solidarité nationale qui obère le travail et en altère le niveau. Je défends et plaide depuis toujours pour la primauté et le respect du travail. Il doit être plus intéressant de travailler que de ne pas travailler ! Il est de bon ton aujourd’hui, sur presque tous les bancs de l’Assemblée nationale, de proclamer la « valeur travail ». Il est préférable d’agir en conséquence ! Il est préférable de voter pour que « travailler paie plus que de ne pas travailler ». Il est impensable que les revenus du travail ne soient pas supérieurs aux aides sociales… La hausse des salaires nets est un premier levier pour marquer une différence entre la rémunération du travail et les prestations de solidarité. Mais pour établir un écart significatif et lisible entre ces prestations et le travail, il est temps de plafonner le montant des aides sociales. Une proposition de loi du groupe de la Droite Républicaine, plafonnant le cumul des prestations sociales à 70 % du SMIC en vue de créer une aide sociale unique, a été soumise à examen et aux votes en commission. J’ai naturellement soutenu cette proposition, qui permet de fusionner des prestations sociales en une seule aide. À cette occasion, et comme il était prévisible, le clivage gauche/droite s’est exprimé : la droite étant favorable à ce mécanisme, la gauche y étant défavorable. Le Rassemblement National s’y est également opposé… Comme il s’était déjà opposé, par vote en 2023, lors de la réforme du RSA, à la conditionnalité et à l’obligation pour les allocataires du RSA d’accomplir chaque semaine 15 heures de travail en contrepartie de la solidarité obtenue. Là encore, la vérité doit être dite. Moi, je continuerai à travailler à la mise en place, en France, d’une allocation sociale unique pour mieux valoriser, reconnaître et inciter au travail.

#LeMotDuDéputé Alors que 2025 a déjà consommé le mois de janvier, la loi de finances de l’année reste en attente. La motion de censure décidée et votée par une majorité de députés début décembre 2024 a placé le pays à l’arrêt, bien au-delà d’un gouvernement renversé… Je constate que beaucoup n’avaient pas pris la mesure des conséquences concrètes du choix de la censure. Une loi de finances, c’est plus qu’un budget et des crédits. C’est le vade-mecum annuel de l’État qui fait avancer la Nation : des dispositifs fiscaux, des mesures d’aide, des éléments financiers… attendus par tout un pays avant de prendre des décisions. Sans cela, ce sont l’attentisme et l’immobilisme qui règnent. La France attend sa loi de finances 2025 pour se mettre en ordre de marche. Une commission mixte paritaire (CMP) a abouti à une version négociée, soumise au vote du Parlement en début de semaine. Même si le texte est imparfait, même s’il est insuffisant et contestable, je le voterai. Il faut un budget à la France.On ne peut plus attendre, alors que l’économie française connaît un coup de frein avec un recul de la croissance. Une nouvelle motion de censure serait carrément irresponsable. Dotée de sa loi de finances, la France fonctionnera. Chacun (collectivités territoriales, entrepreneurs, services de l’État…) connaîtra ses dotations et les mesures applicables. Mais cela n’effacera pas la nécessité d’un redressement des finances publiques et des efforts à faire pour désendetter le pays et réduire son déficit public. Passée cette étape de la loi de finances, il sera grand temps de gouverner, de rattraper le retard et de répondre aux défis abyssaux de 2025. Fidèlement, SV

Un pas de plus contre les violences faites aux femmes et aux enfants ! J’ai défendu et voté pour la proposition de loi de ma collègue @auroreberge, visant à renforcer la lutte contre les violences. ✅ Ce vote est une victoire pour mieux protéger et accompagner les victimes.

RT @Sports_gouv: 🏅 Le sport, levier d'inclusion sociale et professionnelle 🏅 Mardi 28 janvier, le Pacte pour l’Inclusion par le Sport a ét…

RT @GroupeLIOT_An: 🗣️ @ViryStephane au sujet de la proposition de loi qui vise à plafonner le cumul de prestations sociales en vue de créer…

#lemotdudéputé Responsabilité collective exigée ! Dissolution de l’Assemblée Nationale, absence de majorité (même relative), motion de censure, gouvernements démissionnaires, … l’année 2024 a été le creuset d’une crise politique, provoquant immobilisme, instabilité et incertitudes. L’année 2025 doit être en rupture face à ce délitement politique et cette situation hautement préjudiciable pour les intérêts de la France. Je m’emploierai autant que possible à sortir notre pays de cette ornière, et à œuvrer pour trouver un chemin constructif. À l’issue des nombreuses cérémonies de vœux dans les communes de la circonscription de ce début d’année auxquelles j’ai participé à l’invitation des Maires, cette requête d’une stabilité, d’une lisibilité et d’une sérénité de l’action politique a été martelée. François Bayrou est Premier Ministre et a formé un gouvernement. Peu croient en ce gouvernement, beaucoup font avec… C’est une ligne qui s’entend. L’essentiel à mes yeux est de régler les problèmes et de répondre aux préoccupations des Français. L’urgence est de traquer l’immobilisme et d’être résolument engagé dans l’action. Pour ce faire, l’Assemblée nationale doit être à la hauteur de la situation et de sa responsabilité. Elle ne doit plus se laisser scléroser et abîmer par les stratégies de quelques-uns, aux dépens de l’intérêt général. Dans la configuration issue des élections législatives de juillet 2024, il n’y a que deux options ouvertes aux députés : le dialogue ou le chaos. Mon choix est fait depuis la première heure. Nous verrons rapidement si une majorité de députés, tout en conservant leurs identités politiques et leurs appartenances à leur groupe parlementaire, sauront faire enfin ce choix de la responsabilité collective. Fidèlement, et avec tous mes vœux pour l’année 2025.

RT @GroupeLIOT_An: «Ne bradons pas l’héritage des Jeux» : des députés alertent sur la baisse des budgets alloués au sport #LIOT Cc ⁦@VirySt…

La semaine dernière, j’ai interrogé le Premier ministre sur les avantages accordés aux anciens présidents et ministres. Les sénateurs ont relancé ce débat en proposant une réduction de certains dispositifs, comme un secrétariat ou un chauffeur permanents, parfois disproportionnés. Cependant, il est essentiel de garantir la sécurité des personnalités ayant exercé de hautes fonctions face aux menaces actuelles : agressions, espionnage ou ingérence étrangère. Ces mesures doivent être revus pour établir un équilibre juste, en les adaptant à la durée des mandats.

De la fierté nationale à l’oubli gouvernemental : à peine les Jeux terminés, le #sport est déjà abandonné. Refusons cela ! ❌ Le budget du sport pour 2025 est gravement menacé par une baisse significative qui impactera directement nos clubs sportifs, nos territoires et nos bénévoles, ces acteurs essentiels qui font vivre le sport au quotidien. Face à cette décision injuste, j’ai mobilisé mes collègues députés autour d’une tribune transpartisane. Ensemble, nous défendons un budget équilibré, alliant rigueur budgétaire et les moyens indispensables pour préserver l’héritage des Jeux olympiques et soutenir le sport dans tous nos territoires. 👉 Retrouvez ma tribune, publiée ce matin dans la presse. @GroupeLIOT_An @MarieBarsacq @Sports_gouv

🚄 Ligne TGV Épinal-Paris : un changement d’horaire sans concertation ❌ Depuis l’ouverture de la ligne, le TGV Épinal-Paris partait à 16h20, un horaire qui permettait aux voyageurs de Paris de passer une journée complète dans les Vosges pour des rendez-vous professionnels ou des activités touristiques. Aujourd’hui, cet horaire est avancé à 13h19, une décision prise sans consultation des collectivités locales ou des acteurs du territoire. Cette modification impacte directement l’accessibilité de notre territoire et nuit à son attractivité économique et touristique. 👉 Face à cette situation, j’ai écrit au ministre des Transports, @PhilippeTabarot, et au président du @GroupeSNCF, Jean-Pierre Farandou, pour dénoncer ce changement et demander le rétablissement de l'horaire initial.

#SanteMentale En octobre, Michel Barnier annonçait vouloir faire de la santé mentale la grande cause nationale de 2025. Une avancée prometteuse pour une cause essentielle. J’ai écrit à François Bayrou afin de soutenir et maintenir ces ambitions dans un secteur qui en a tant besoin.

2024, en chiffres, à vos côtés pour vous représenter et vous défendre. 2025, une année pour vous défendre au service des Vosges et de la France.

Profondément choqué par l’attaque dramatique du marché de Noël de #Magdeburg. Toutes mes pensées vont aux victimes, aux blessés et à leurs proches. La France partage la douleur du peuple allemand endeuillé et exprime sa solidarité dans cette épreuve.

Je tiens à exprimer mon soutien total aux Français de #Mayotte, durement frappés par la terrible catastrophe du cyclone #Chido. Mes pensées et ma solidarité vont également à ma collègue députée @DeputeeEstelle, députée, comme moi, du @GroupeLIOT_An, qui se bat pour faire entendre la voix des Mahorais. Mayotte est un territoire de France. Nous sommes tous concernés. Cette catastrophe, qui a coûté des vies et plongé une immense majorité de la population dans une détresse absolue, n’a malheureusement pas reçu l’écho qu’elle mérite, à ce jour, à l’échelle nationale. Nous l’avons rappelé au Premier ministre lors des questions de cet après-midi en hémicycle à l'@AssembleeNat. Face à cette bombe climatique qui a dévasté l’île, l’action doit être immédiate. Je soutiens pleinement la proposition de ma collègue de nommer un délégué interministériel à la reconstruction de ce département français. Les Mahorais ne doivent pas être oubliés : il est temps d’agir à la hauteur du drame qu’ils traversent.

La France en jachère … Qui est responsable ? Vu la situation, vu l’urgence, vu la composition fragmentée de l’Assemblée nationale issue des élections législatives de juillet 2024, la solution politique d’une coalition parlementaire au soutien d’un gouvernement d’union nationale s’impose depuis plusieurs mois. Ça n’implique pas d’être d’accord sur tout, ni même de supprimer les différences de vue, et encore moins de fusionner dans un groupe commun. Ça repose simplement sur un esprit gaullien et une exigence de rassemblement, compte tenu de la réalité… Depuis 2022 et le fait d’une majorité relative à l’Assemblée nationale, et encore plus depuis l’été 2024 à l’issue du vote des français, je soutiens une démarche qui enjambe les partis politiques et les ambitions présidentielles des chefs de clans. Je suis de droite, et j’assume ce positionnement politique. Il constitue la colonne vertébrale de mes pensées, de mes analyses et de mes propositions. Mais la fonction de député exige de laisser, dans certaines situations, nos appartenances à l’extérieur, et d’avancer. Je le pense ainsi. Ça ne se passe pas ainsi à l’assemblée nationale. Je le déplore. Je le dénonce. J’invite à faire preuve de discernement dans les raisons et les auteurs de «l’absurdie parlementaire». Qui est responsable du chaos ? Qui est responsable de l’enlisement stérile de la situation ? Qui refuse de prendre acte de la réalité parlementaire (absence totale de majorité pour faire voter les lois et décider) ? Les français sont exaspérés et inquiets. Ils ne comprennent pas. Je les comprends. Ils sont les victimes d’une France mise en jachère par des élus politiques. La méfiance et le rejet prospèrent, tout azimut, contre tout le système politique, mettant tous les élus et dirigeants dans un même sac. Prenons garde à ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain !

La santé mentale, victime collatérale de la censure ? L’état de la santé mentale des françaises et des français s’est gravement détérioré depuis plusieurs années, et cette situation s’est encore aggravée depuis la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19. Les derniers éléments chiffrés sont alarmants. J’ai entrepris depuis plusieurs mois de traiter cette question de la santé mentale, et je m’étais réjouis de la décision du Premier Ministre Michel BARNIER de placer la santé mentale comme « grande cause nationale 2025 ». La censure du gouvernement vient de mettre à terre cette ambition, et je le déplore fortement. Nous devons continuer à agir. Avec certains collègues députés, nous avons pris l’initiative de monter un groupe de travail transpartisan sur la santé mentale. Nous souhaitons rédiger une proposition de loi, et apporter des réponses aux inégalités territoriales et à l’insuffisance de l’offre de santé mentale en France. Nous souhaitons être force de propositions sur les urgences psychiatriques. Nous souhaitons également aborder de façon concrète et réaliste les difficultés pour les professionnels du soin d’exercer leurs métiers. Nous voulons un meilleur accès aux soins et services médico-sociaux. L’angle d’actions portera aussi sur la vulnérabilité accrue des jeunes aidants. En France, ce sont près de 500.000 jeunes de 5 à 17 ans, aidants de personne en situation de handicap. L’impact sur leur santé mentale est non négligeable, alors qu’ils doivent préparer leur avenir en parallèle. Les troubles psychiques, quelqu’en soient les formes ou les modes d’expression, constituent des dangers pour les personnes, pour leurs entourages et pour les tiers. La priorité à accorder à la santé mentale ne doit pas être victime des guérillas politiques. Je continuerai à m’employer pour que cette cause progresse, au service de la population.

#LaPresseEnParle "Il faut travailler ensemble, les Français sont de plus en plus antisystèmes on a plus le choix, sinon on va avoir le Capitol." Pour lire l'article, c'est par ici 👉

La motion de censure adoptée entraîne la chute du gouvernement Barnier et compromet la possibilité de doter la France d’un budget pour 2025. C’est un échec pour la France aux lourdes conséquences pour les Français. Une alliance contre nature des extrêmes s’est unie pour faire basculer le pays dans une impasse démocratique. Il est maintenant urgent de constituer un gouvernement d’union nationale pour répondre aux attentes des Français. L’esprit de responsabilité doit surpasser les postures politiciennes et les ambitions présidentielles des chefs de clans, véritables artisans du chaos. Je réaffirme ma volonté d’œuvrer pour l’intérêt général et de m’unir avec les forces politiques de bonne volonté, animées par le même sens de l’État.

Oublier l’essentiel, négliger la réalité et abîmer la République L’objectif assigné au budget 2025 présenté par Michel BARNIER était déjà de redresser les finances publiques, et de casser une spirale de dégradation dramatique des comptes de la Nation. L’objectif était donc de ramener le déficit public à 5% du PIB. Des choix et des efforts étaient liés à cette perspective. À ce jour, plus personne ne parle de cela. Les débats, depuis des semaines, sur le projet de loi de finances 2025, ignorent ce nécessaire redressement de la situation budgétaire de la France. Ils sont déconnectés de la réalité, qui pourtant s’impose à nous tous. Ils s’enflamment au risque de placer notre pays dans le précipice, et les français dans la banqueroute. La traduction parlementaire de cette déviance politique est la Motion de censure qui pourrait faire tomber le gouvernement BARNIER… Certes. Mais que se passera-t-il dans les heures, les jours voire les semaines suivants cette censure ? D’une part, la France n’aura pas de budget pour débuter 2025. Ce n’est pas rien. Ce n’est pas sans conséquences ! D’autre part, un nouveau Premier Ministre devra être nommé. À la bonne heure ! Qui ? Avec qui ? Pour quoi faire ? Quand ? Avec quelle majorité ? En sus, il est hautement probable qu’il résultera une crise financière de cette inflammation politique. Et cela, sans que la France redresse ses comptes publics puisque l’objectif de réduction du déficit public sera passé à trépas.L’heure est grave. La situation est historique dans la Ve République. Je ne cesserai jamais d’appeler à la conscience politique face à l’exercice d’une fonction élective. Les différences entre les idées de droite, de gauches, d’ici et de là, des extrêmes sont nettes, et c’est bien comme ça pour le débat et la vitalité démocratique. Mais, à certains moments, compte tenu des circonstances exceptionnelles, la sagesse doit l’emporter sur l’embrasement partisan, dans l’intérêt supérieur de la Nation. Nous en sommes loin… La violence exprimée, de manière scandaleuse, cette semaine à l’Assemblée nationale donne à penser que la maturité démocratique manque. Elle fait craindre le pire. Ça sera sans moi.