Torah_Box Profile Banner
Torah-Box Profile
Torah-Box

@Torah_Box

Followers
5K
Following
888
Statuses
13K

Compte OFFICIEUX de Torah-Box 😉

Joined December 2015
Don't wanna be here? Send us removal request.
@Torah_Box
Torah-Box
58 minutes
Beaucoup confondent bonheur et plaisir. Pourtant, ces deux notions ont peu en commun. Le bonheur (ŚŚ•Ś©Śš) et la fortune (ŚąŚ•Ś©Śš) se ressemblent en hĂ©breu, mais leur essence est opposĂ©e ! Le plaisir est instantanĂ© et Ă©phĂ©mĂšre. Le bonheur est profond et durable. Comprendre cela est une prise de conscience libĂ©ratrice. J’habite au pays de Walt Disney et de Jurassic Park : Hollywood, lĂ  oĂč le soleil brille toute l’annĂ©e. Beaucoup s’imaginent que ceux qui vivent dans un tel dĂ©cor sont plus heureux
 Mais c’est une illusion. Si plaisir et luxe suffisaient au bonheur, pourquoi tant de stars sombrent-elles dans la dĂ©pression ? Le plaisir, c’est une sensation agrĂ©able qui dure un instant. C’est pourquoi en hĂ©breu, "Taava" (ŚȘŚŚ•Ś•Ś”), qui signifie plaisir, Ă©voque aussi une limite. Le bonheur, lui, est un Ă©tat qui se construit. Il ne dĂ©pend pas du moment, mais du sens et de la profondeur qu’on donne Ă  sa vie. Les stars ont tout : argent, gloire, soirĂ©es VIP
 Pourtant, leurs biographies racontent une autre rĂ©alitĂ© : solitude, addictions, mariages brisĂ©s
 Pourquoi ? Parce qu’une vie de plaisirs ne garantit pas le bonheur. Celui-ci ne s’achĂšte pas, il se construit. Si plaisir = bonheur, alors douleur = malheur ? Nos Sages enseignent : "Heureux celui qui mange du pain trempĂ© dans le sel" (Avot 4,6). Autrement dit, le vrai bonheur exige parfois des efforts et des sacrifices. Il naĂźt d’un engagement profond, pas d’une consommation effrĂ©nĂ©e. Être heureux en couple demande d’apprendre Ă  faire des concessions. RĂ©ussir l’éducation de ses enfants exige des annĂ©es de patience. Une vie saine demande de renoncer aux excĂšs. Le bonheur implique des dĂ©fis
 mais la satisfaction qui en dĂ©coule est inĂ©galable. 👉 lire la suite :
Tweet media one
2
2
6
@Torah_Box
Torah-Box
16 hours
Regardez-la
 Elle danse, elle rayonne ! C’était ce vendredi matin. Un instant plus tĂŽt, cette femme malade de l’hĂŽpital Shaare Zedek Medical Center Jerusalem Ă©tait allongĂ©e, silencieuse, et maintenant, au son de cette mĂ©lodie en russe (jouĂ©e par un de nos musiciens bĂ©nĂ©voles Torah-Box), son visage s’illumine. Son sourire s’élargit, ses mains suivent le rythme, son corps retrouve une Ă©nergie insoupçonnĂ©e. Comme si, en un instant, la Russie, son pays d’origine, ses souvenirs, Ă©taient venus l’envelopper et la ramener Ă  la vie. Quelle joie de voir Ă  quel point un simple chant peut raviver une flamme en elle ! Chavoua Tov | Binyamin Benhamou â„č Torah-Box, c'est 33 000 malades visitĂ©s chaque annĂ©e par 200 bĂ©nĂ©voles rĂ©partis en 12 Ă©quipes. Chaque semaine, ils apportent rĂ©confort et joie dans 6 hĂŽpitaux Ă  JĂ©rusalem, Ashdod, Netanya, ïżœïżœïżœHadĂ©ra et Ashkelon, Ă  travers la musique, la danse ou simplement une prĂ©sence bienveillante.
0
5
18
@Torah_Box
Torah-Box
16 hours
Tweet media one
1
5
27
@Torah_Box
Torah-Box
16 hours
Tweet media one
0
3
19
@Torah_Box
Torah-Box
2 days
Dans la Paracha BĂ©chala’h que nous lirons demain Ă  la synagogue, la Torah nous enseigne que les Enfants d'IsraĂ«l n’ont ressenti la vĂ©ritable libertĂ© qu’aprĂšs avoir vu de leurs propres yeux l’armĂ©e de Pharaon engloutie par la mer. Tant que leurs oppresseurs existaient, mĂȘme Ă  distance, leur esprit restait prisonnier de la peur. La Haggada de Pessa’h affirme : "Si Hachem n’avait pas fait sortir nos pĂšres d’Égypte, nous serions encore leurs esclaves aujourd’hui." Comment comprendre cette dĂ©claration ? Serions-nous rĂ©ellement, en 2025, toujours sous la domination des Égyptiens, vivant au Caire sous leur joug ? La rĂ©ponse est que l’esclavage dont parle la Haggada n’est pas seulement physique, mais surtout psychologique. MĂȘme si nous Ă©tions libres dans un autre pays, l’influence nĂ©faste de l’Égypte aurait continuĂ© Ă  peser sur nous. Comment nous affranchir des forces qui nous entravent, qu’il s’agisse de dirigeants toxiques, d’addictions destructrices (dopamine, drogue, smartphone, tabac) ou des tentations du YĂ©tser Hara ? La Torah nous enseigne que toute libĂ©ration se fait en 2 Ă©tapes : 1ïžâƒŁ S’éloigner du mal – Comme les BnĂ© IsraĂ«l ont quittĂ© l’Égypte. Prenons l’exemple du tabac : une personne qui a arrĂȘtĂ© de fumer depuis des annĂ©es continue parfois Ă  se considĂ©rer comme un "ancien fumeur" pour rester vigilante. Si elle pense ĂȘtre totalement dĂ©barrassĂ©e de cette dĂ©pendance, elle risque de rechuter en se disant qu’une seule cigarette ne la fera pas replonger. Pourtant, c’est souvent cette "innocente" cigarette qui ravive l’addiction. 2ïžâƒŁ Éliminer la source du mal – Comme Hachem a anĂ©anti l’armĂ©e Ă©gyptienne. Se libĂ©rer rĂ©ellement implique de dĂ©truire la racine de ce qui nous enchaĂźne. Mais cette Ă©tape ne peut ĂȘtre franchie seul : il faut implorer l’aide d’Hachem. Comme le souligne le Ibn Ezra, ce n’est pas le peuple juif qui a dĂ©truit les Égyptiens, mais bien Hachem. Notre dĂ©tachement aux mauvaises choses doit ĂȘtre totale et progressive. S’éloigner du mal ne suffit pas : il faut aussi Ă©radiquer son emprise. Et pour cela, nous devons nous appuyer sur la priĂšre. Chabbath Chalom Ă  tous | Binyamin Benhamou (d'aprĂšs Rav Y. Gefen) 👉 Nouvelle chanson en rythme flamenco :
Tweet media one
0
3
14
@Torah_Box
Torah-Box
3 days
Un tunisien loubavitch, c’est possible ?
2
1
17
@Torah_Box
Torah-Box
4 days
Il y a une tragĂ©die silencieuse qui se dĂ©veloppe aujourd'hui dans nos foyers et qui concerne nos plus prĂ©cieux trĂ©sors : nos enfants. Nos enfants sont dans un Ă©tat Ă©motionnel de plus en plus fragile. Depuis 15 ans, les chercheurs nous alertent sur une augmentation alarmante des troubles mentaux chez les jeunes, atteignant des proportions Ă©pidĂ©miques... alerte le psychiatre Dr. Luis Rojas Marcos. 📊 Les statistiques ne mentent pas : 👉 1 enfant sur 5 prĂ©sente des troubles de la santĂ© mentale. 👉 Une augmentation de 43 % des cas de TDAH. 👉 Une augmentation de 37 % des cas de dĂ©pression adolescente. 👉 Une augmentation de 200 % du taux de suicide chez les 10-14 ans. Qu'est-ce qui ne va pas et qu’avons-nous dĂ©laissĂ© dans l'Ă©ducation de nos enfants ? Nos enfants grandissent dans un monde saturĂ© de stimulation artificielle et de matĂ©rialisme, mais ils sont privĂ©s des fondements essentiels d’une Ă©ducation saine, tels que : 🛑 Des parents impliquĂ©s et prĂ©sents, comme il est dit : "Tu enseigneras la Torah Ă  tes enfants et tu en parleras quand tu seras chez toi, quand tu marcheras sur le chemin, quand tu te coucheras et quand tu te lĂšveras" (Devarim 6,7). 🛑 Des limites claires et cohĂ©rentes, car « celui qui retient son bĂąton hait son fils, mais celui qui l'aime veille Ă  le discipliner » (MichlĂ© 13,24). 🛑 Des responsabilitĂ©s, Ă  l’image de la Torah qui donne aux enfants des rĂšgles et des mitsvot dĂšs leur plus jeune Ăąge. 🛑 Une alimentation saine et un sommeil rĂ©gulier, car "un corps en santĂ© influence directement l’esprit" (lire Hilkhot DĂ©'ot du Rambam en français aux Editions Torah-Box). 🛑 Des activitĂ©s physiques et du temps en plein air, suivant l’exemple des grands MaĂźtres de la Torah qui valorisaient l’effort physique et la marche en pleine nature. 🛑 Des interactions sociales enrichissantes, car "Deux valent mieux qu’un" (L'EcclĂ©siaste 4,9). Au lieu de cela, notre sociĂ©tĂ© moderne favorise : 👎 Des parents absorbĂ©s par leurs Ă©crans, crĂ©ant un dĂ©ficit de communication et de connexion avec leurs enfants. 👎 Une Ă©ducation permissive, qui donne aux enfants un sentiment de toute-puissance dĂ©nuĂ© de discipline. 👎 Une gratification immĂ©diate, qui les empĂȘche d’apprendre la patience et l’effort ("Qui est riche ? Celui qui se rĂ©jouit de ce qu’il a", Maximes des PĂšres 4:1). 👎 Un mode de vie sĂ©dentaire, qui appauvrit leur Ă©nergie et leur dynamisme. 👎 Une stimulation excessive via la technologie, qui nuit Ă  la concentration et Ă  la rĂ©flexion profonde. Que faire ? Si nous voulons Ă©lever des enfants Ă©panouis et solides, nous devons revenir aux bases que la Torah nous enseigne. Il est encore temps ! Voici quelques recommandations inspirĂ©es des enseignements de nos Sages : ✅ Fixez des limites claires. Un enfant se sent sĂ©curisĂ© quand il sait que ses parents ont un cap, Ă  l’image de la Torah qui nous donne des repĂšres et des commandements (MichlĂ© 22:6 : "Instruis l’enfant selon sa voie, mĂȘme lorsqu’il vieillira, il ne s’en Ă©cartera pas"). ✅ Donnez Ă  vos enfants ce dont ils ont besoin, et non ce qu’ils veulent. Nos Sages nous enseignent que l’aviditĂ© matĂ©rielle ne mĂšne pas au bonheur (Maximes des PĂšres 2:7 : "Celui qui multiplie ses biens multiplie ses soucis"). ✅ PrivilĂ©giez une alimentation saine et naturelle, comme l'ordonne la Torah et dans le respect des lois de la cacheroute. ✅ Passez du temps en famille sans distractions technologiques, en suivant l’exemple du Chabbat, oĂč le foyer devient un sanctuaire de connexion et de partage... ✅ Pratiquez des jeux et des activitĂ©s ensemble. ✅ Confiez Ă  vos enfants des responsabilitĂ©s selon leur Ăąge. ✅ RĂ©gulez leur usage des Ă©crans. Il faut bien choisir nos influences et nos distractions... imprimez des jeux et feuillets avant Chabbath sur Torah-Box. ✅ Apprenez-leur Ă  attendre et Ă  dĂ©velopper leur patience. "Tout vient Ă  point Ă  qui sait attendre", une valeur fondamentale du judaĂŻsme. ✅ Encouragez la rĂ©silience et l’indĂ©pendance. Nos patriarches ont traversĂ© de sacrĂ©es Ă©preuves qui les ont forgĂ©s (BĂ©rĂ©chit 12:1-4). ✅ DĂ©veloppez leur gratitude et leurs bonnes maniĂšres. Nos Sages insistent sur l’importance du respect (Avot 1:15 : "Accueille chaque personne avec un visage rayonnant"). ✅ Connectez-vous Ă©motionnellement avec vos enfants. Aimez-les, Ă©coutez-les, jouez avec eux ! Il est temps de revenir Ă  une Ă©ducation sensĂ©e et ancrĂ©e dans la Torah et la sagesse de nos MaĂźtres. En inculquant des valeurs solides, en posant des limites saines et en Ă©tant prĂ©sents pour nos enfants, nous les aidons Ă  construire une vie Ă©panouie. Binyamin Benhamou âžĄïž reste connectĂ© Ă  Torah-Box sur ton smartphone :
Tweet media one
0
3
10
@Torah_Box
Torah-Box
5 days
Étudiants de Madrid et de Porto, c’est pour vous ! Une occasion en or arrive chez vous : le Admour de Oungvar vient Ă  votre rencontre dans les prochains jours ! Besoin d’un coup de boost pour vos exams ? De conseils pour votre avenir ? D’une brakha pour rĂ©ussir ? C’est le moment parfait pour venir le rencontrer ! Que ce soit pour votre rĂ©ussite, des choix importants ou juste pour vivre un moment inspirant, ne ratez pas cette opportunitĂ© unique. Ramenez vos amis et venez prendre des forces pour la suite !
Tweet media one
0
3
9
@Torah_Box
Torah-Box
5 days
Aujourd'hui : SĂ©goula ancestrale pour la Parnassa (rĂ©ussite matĂ©rielle) de lire la "Parachat Hamanne" - texte en hĂ©breu : - texte en phonĂ©tique : - faire un don : Partagez ce message... dans la journĂ©e ! Explications : Nos Sages enseignent que c'est une SĂ©goula ancestrale pour la Parnassa (rĂ©ussite matĂ©rielle) de lire, le mardi oĂč tombe la Paracha BĂ©chala’h, le texte dans la Torah qui parle de la Manne. Il faut ainsi lire le 16Ăšme chapitre du livre de ChĂ©mot, du 4Ăšme au 36Ăšme verset : deux fois en hĂ©breu + 1 fois en aramĂ©en. AprĂšs la lecture, priez D.ieu qu'Il vous accorde les besoins matĂ©riels nĂ©cessaires Ă  votre vie. L'Ă©quipe Torah-Box
0
5
11
@Torah_Box
Torah-Box
6 days
Rendez-vous compte : dans le monde juif, la Hiloula de Rabbi IsraĂ«l Abi’hssira, surnommĂ© « Baba SalĂ© », est la troisiĂšme la plus cĂ©lĂ©brĂ©e aprĂšs celles de Rabbi Chimon Bar YohaĂŻ et Rabbi MeĂŻr Baal HaNess, qui ont vĂ©cu il y a plus de 2000 ans. Il n’y a pas une ville, pas un moshav oĂč un repas en l’honneur de Baba SalĂ© n’est pas organisĂ© Ă  travers le monde
 Car qui n'a pas un pĂšre ou un grand-pĂšre qui n'a pas profitĂ© d'un miracle du Saint ? Cette annĂ©e encore, j’ai ressenti un IMMENSE renforcement lors de toutes ces Hiloulot organisĂ©es en l’honneur du Tsadik. C’est incroyable : chaque annĂ©e, on dĂ©couvre de nouvelles histoires de personnes ayant vĂ©cu des miracles grĂące Ă  Baba Salé  Je vous en fais part de deux. Un Ă©lĂšve du Roch YĂ©chiva de "Porat Yossef", Rav Yehouda Tsadka – une trĂšs grande figure du monde de la Torah sĂ©farade – m’a racontĂ© qu’un jour, son Rav a rencontrĂ© un grave problĂšme. Il est alors allĂ© consulter Baba SalĂ©, qui lui a donnĂ© une condition pour que son problĂšme soit rĂ©solu : ne plus jamais couper sa barbe. À l’époque, il y a environ 50 ans, les Rabbanim d’IsraĂ«l avaient l’habitude de se raser... En contrepartie, Baba SalĂ© lui a promis de lui donner son verre de Kiddouch personnel. MalgrĂ© la difficultĂ© sociale que cela reprĂ©sentait, Rav Tsadka a acceptĂ©. Pendant trois ans, il n’a plus touchĂ© Ă  sa barbe. Chaque semaine, il rĂ©citait le Kiddouch sur le verre de Baba SalĂ©. Mais un jour, veille de Chabbath, il a dĂ©cidĂ© de tailler lĂ©gĂšrement sa barbe
 Ce mĂȘme Chabbath, vendredi soir, alors qu’il tenait le verre en argile du Tsadik dans sa main, celui-ci s’est tout simplement dĂ©sagrĂ©gĂ© sous ses yeux !! Il a racontĂ© cette histoire devant tous les Ă©lĂšves de la prestigieuse YĂ©chiva en face du Kotel. Une autre histoire, qui s’est dĂ©roulĂ©e il y a
 une semaine ! Un ami Ă  moi s’est rĂ©veillĂ© deux semaines auparavant, sans raison apparente, couvert de plaques et de cloques sur tout le corps. La douleur Ă©tait insupportable : il ne pouvait ni dormir ni marcher normalement et en souffrait toute la journĂ©e. Dans le cadre de son travail Ă  Torah-Box, il a rencontrĂ© Rav Moghrabi, un homme qui fut le serviteur de Baba SalĂ© durant les dix derniĂšres annĂ©es de sa vie et qui est, par ailleurs, mariĂ© Ă  sa petite-fille. Cet homme lui a simplement donnĂ© une bouteille d’eau bĂ©nie par Baba SalĂ©. En effet, il conserve chez lui un grand broc d’eau qu’il remplit en permanence et qui a Ă©tĂ© bĂ©nie par le Tsadik. Mon ami a appliquĂ© cette eau sur son corps
 Eh bien, le lendemain (!) il n’avait plus rien ! J’en suis encore bouleversĂ©. Mais je ne devrais pas l’ĂȘtre : c’est un simple manque de Ă©mouna de ma part. Tout cela, comme le disait Baba SalĂ©, ce n’est pas de la magie. L’arak bĂ©nie ou l’eau bĂ©nie d'un Tsadik (malgrĂ© son abnĂ©gation totale devant D.ieu) n’ont aucune efficacitĂ© en elles-mĂȘmes. C’est uniquement la Ă©mouna de celui qui reçoit qui leur confĂšre la capacitĂ© de transformer la matiĂšre et d’opĂ©rer des miracles. N’oubliez pas d’enseigner la Ă©mouna autour de vous
 Binyamin Benhamou
Tweet media one
1
4
19
@Torah_Box
Torah-Box
7 days
41Úme Hiloula de Baba Salé En Direct de son Tombeau à Nétivot
0
4
9
@Torah_Box
Torah-Box
8 days
Un jeune soldat, griĂšvement blessĂ© lors de la guerre de Kippour, arriva en fauteuil roulant chez Rabbi IsraĂ«l Abi’hssira, plus connu sous le nom de "Baba SalĂ©", Ă  NĂ©tivot. Le visage marquĂ© par la souffrance, il confia son histoire : « J’ai Ă©tĂ© touchĂ© par une balle dans le dos et subi plusieurs opĂ©rations. Je boite encore et suis incapable de me tenir debout. L’une de mes jambes est dans un Ă©tat si critique que les mĂ©decins envisagent de l’amputer. Un ami m’a conseillĂ© de venir vous voir, disant que vos priĂšres accomplissent des miracles. D’abord, j’ai refusĂ©. Mais dans mon dĂ©sespoir, j’ai fini par me rĂ©soudre Ă  tenter ma chance. » Rabbi IsraĂ«l l’observa attentivement et lui demanda : — Mets-tu les TĂ©filines chaque jour ? — Non, rĂ©pondit le soldat. — Respectes-tu le Chabbath ? — Non. Le Rav hocha la tĂȘte et lui dit d’un ton empreint de sagesse : — Dans ce cas, tu devrais dĂ©jĂ  ĂȘtre reconnaissant que seule une jambe soit en danger. Hachem nous donne la santĂ© pour que nous puissions Le servir ! TouchĂ© en plein cƓur, le jeune homme Ă©clata en sanglots. Rabbi IsraĂ«l poursuivit : — Si je te bĂ©nis et que tu peux te tenir debout, t’engageras-tu Ă  observer les Mitsvot ? — Oui ! rĂ©pondit-il avec empressement. Le Rav posa sur lui un regard bienveillant, lui donna sa bĂ©nĂ©diction et lui souhaita une guĂ©rison complĂšte. Le soldat embrassa sa main avec ferveur. À cet instant, la Rabbanite intervint : — Mets-toi debout. Pris d’un frisson, il tenta de se lever
 et, contre toute attente, il y parvint sans la moindre aide. Il fit quelques pas, d’abord hĂ©sitant, puis avec plus d’assurance. La nouvelle de ce miracle se rĂ©pandit comme une traĂźnĂ©e de poudre Ă  travers le pays, inspirant un vaste mouvement de TĂ©chouva... Baba SalĂ© bĂ©nissait chaque personne venant Ă  lui et leur offrait une bouteille d’eau qu’il avait sanctifiĂ©e. Cette eau, expliquait-il, n’avait aucun pouvoir intrinsĂšque. Son efficacitĂ© naissait de la force de la Emouna (la foi en D.ieu) de celui qui la recevait, unie Ă  la bĂ©nĂ©diction d’un saint homme
 Allumez aujourd'hui une bougie en l'honneur de Baba SalĂ© et priez que par son mĂ©rite, Il vous protĂšge. Binyamin Benhamou 👉 Torah-Box offre une bouteille d'Arak bĂ©nie par la fille de Baba SalĂ© Ă  tous ceux qui soutiendront les orphelins de la guerre par un don. Participez Ă  cette mitsva prĂ©cieuse :
Tweet media one
0
4
16
@Torah_Box
Torah-Box
8 days
L'histoire qui a dĂ©voilĂ© Rabbi IsraĂ«l Abi'hssira surnommĂ© Baba SalĂ© au public israĂ©lien. #BabaSalĂ© #Hiloula #Tsadik #BinyaminBenhamou 🙌 Demandez une bĂ©nĂ©diction : 🕯 Faites allumer une bougie sur son Tombeau : 😼 Biographie de Baba SalĂ© : đŸŽ„ Émission entiĂšre sur Baba SalĂ© : đŸŽ» Yodou LĂ©kha, le piyout composĂ© par Baba SalĂ© :
0
5
21
@Torah_Box
Torah-Box
9 days
Miracle de Baba SalĂ© racontĂ© par son fils... L'annĂ©e derniĂšre, Torah-Box a eu l'immense honneur d'interviewer, en exclusivitĂ© totale, le seul fils encore en vie de Baba SalĂ© : Rabbi Barouk Abi'hssira. D'autant plus prĂ©cieux qu'il s'exprime en français ! À la veille de la 41ᔉ Hiloula de Baba SalĂ©, qui se tiendra ce samedi soir et dimanche, je vous partage un extrait de cette rencontre exceptionnelle. Rappelons-nous que les miracles quotidiens qu’il accomplissait n’étaient pas une fin en soi, mais la consĂ©quence de son extraordinaire et exigeant service de D.ieu. đŸŽ„ Voir l'interview en entier ici : Chabbath Chalom Ă  tous 🙌 Envoyez une priĂšre et faites allumer une bougie sur le tombeau de Baba SalĂ© en cliquant ici :
0
4
27
@Torah_Box
Torah-Box
10 days
🙌 Demandez une bĂ©nĂ©diction :
0
2
3
@Torah_Box
Torah-Box
10 days
*PÈLERINAGE SUR LA TOMBE DE BABA SALÉ ET RECUEILLEMENT À RÉIM* đŸ™ŒđŸ» Jeunes filles et femmes d'IsraĂ«l, ne manquez pas cette occasion prĂ©cieuse proposĂ©e par Torah-Box de vous rendre Ă  Netivot Ă  quelques jours de la Hiloula de Baba SalĂ© ainsi qu'Ă  RĂ©im (un des lieux de l'attaque du 7 octobre) . *Ensemble, nous nous recueillerons et prierons pour la libĂ©ration des otages et la protection du peuple juif !* *Nous serons accompagnĂ©es de la Rabbanite LĂ©a Elgrabli, LĂ©a BennaĂŻm et Ethel Fitoussi qui nous enrichiront de paroles inspirantes de Torah et de Emouna.* Transport en autocar depuis JĂ©rusalem 🚌 Informations et rĂ©servations : TĂ©l. : 054 550 23 38
Tweet media one
0
2
7
@Torah_Box
Torah-Box
10 days
Le saint "Baba SalĂ©", Rabbi IsraĂ«l Abi’hssira, parcourait les villages pour renforcer les Juifs dans l’accomplissement des commandements. Un soir, il arriva dans une ville reculĂ©e du Maroc. Tous les habitants se rassemblĂšrent aussitĂŽt Ă  la synagogue pour l’accueillir et Ă©couter ses saintes paroles. À la fin de son homĂ©lie, alors qu’ils s’apprĂȘtaient Ă  l’accompagner chez son hĂŽte, Baba SalĂ© demanda Ă  visiter le MikvĂ© de la ville. Les habitants furent trĂšs embarrassĂ©s. Comme les responsables de la communautĂ© le lui expliquĂšrent, cela faisait plusieurs annĂ©es que le MikvĂ© n’était plus utilisĂ©. L’endroit Ă©tait dĂ©labrĂ©, les murs menaçaient de s’effondrer et des morceaux de plĂątre tombaient dans les eaux du bassin. Baba SalĂ© leur demanda oĂč allaient les femmes de la communautĂ© lorsqu’elles devaient se rendre au MikvĂ©. On lui expliqua qu’elles se rendaient dans la ville voisine. Il rĂ©torqua qu’une telle situation Ă©tait contraire Ă  la loi, car la construction d’un MikvĂ© passe avant celle d’une synagogue. Il insista pour le visiter et entreprendre les dĂ©marches nĂ©cessaires Ă  sa rĂ©habilitation. À une heure aussi tardive, les habitants Ă©taient perplexes. Le MikvĂ© Ă©tait abandonnĂ© depuis tant d’annĂ©es. Pourtant, face Ă  l’insistance du Rav, ils n’eurent d’autre choix que de le suivre. Quand il voulut entrer, ils tentĂšrent encore de l’en dissuader, craignant pour sa sĂ©curitĂ©. Mais il dĂ©clara qu’il ne quitterait pas les lieux avant de l’avoir remis en Ă©tat. On lui remit donc les clĂ©s, et il pĂ©nĂ©tra dans le bĂątiment. Il ĂŽta ses chaussures, retroussa sa tunique, prit un seau et entra dans l’eau. Il encouragea la communautĂ© Ă  l’aider Ă  vider le bassin. Une fois cette tĂąche accomplie, il remit ses chaussures et sortit. Les habitants lui demandĂšrent comment, en l'absence de pluie, ils allaient le remplir. Sans attendre, Baba SalĂ© leva les yeux au ciel et s’exclama : « MaĂźtre du monde, nous avons fait notre part, fais maintenant la Tienne. » AussitĂŽt, des nuages obscurcirent le ciel et une forte pluie tomba. Tandis que les habitants s’abritaient, Baba SalĂ© resta sur place, veillant Ă  ce que l’eau remplisse bien le MikvĂ©. Lorsque la pluie cessa, les habitants se rĂ©unirent autour du bassin et, Ă©mus par le miracle auquel ils venaient d’assister, entonnĂšrent des chants de gratitude.
Tweet media one
0
5
28
@Torah_Box
Torah-Box
11 days
Lorsque Baba SalĂ© fit son Alyah en IsraĂ«l, il arriva en bateau au port de ‘HaĂŻfa. Le ministre de la police, monsieur ChĂ©trit, se dĂ©plaça spĂ©cialement pour l’accueillir avec honneur. Il ordonna aux autoritĂ©s de lui faciliter l’entrĂ©e en IsraĂ«l sans aucun retard, en Ă©vitant toutes les formalitĂ©s douaniĂšres habituelles. AprĂšs les prĂ©paratifs, il proposa Ă  Baba SalĂ© de voyager dans sa voiture officielle. Mais Baba SalĂ© dĂ©clina l’offre, expliquant qu’il supposait que cette voiture ne se « reposait » pas le Chabbath, et il ne voulait pas en bĂ©nĂ©ficier. Il prĂ©fĂ©ra donc prendre un bus en direction de JĂ©rusalem, comme un simple voyageur. En chemin, alors que l’heure de Min’ha approchait, il demanda poliment au chauffeur d’arrĂȘter le bus afin qu’il puisse prier. Le chauffeur refusa, expliquant qu’il s’agissait d’un bus et non d’un taxi, qu’il avait des horaires Ă  respecter et qu’il ne pouvait pas s’arrĂȘter en dehors des stations prĂ©vues. Baba SalĂ© insista alors avec douceur : « Si c’est ainsi, descends-moi ici, sinon l’heure de Min’ha passera, et nous perdrons cette priĂšre. » Devant son insistance, le chauffeur finit par accepter et l’arrĂȘta quelques centaines de mĂštres avant la prochaine station. Baba SalĂ© descendit du bus et se tint sur le bas-cĂŽtĂ© de la route pour prier Min’ha avec ferveur. AprĂšs avoir terminĂ© sa priĂšre, il marcha calmement jusqu’à la station voisine et y trouva un bus prĂȘt Ă  partir pour JĂ©rusalem. Il monta et reconnut immĂ©diatement, avec Ă©tonnement, qu’il s’agissait du mĂȘme bus dont il Ă©tait descendu un peu plus tĂŽt ! IntriguĂ©, il demanda au chauffeur : « Pourquoi ĂȘtes-vous restĂ©s arrĂȘtĂ©s aussi longtemps ? » Le chauffeur rĂ©pondit, visiblement troublĂ© : « AprĂšs votre descente, le bus est restĂ© complĂštement immobile. J’ai essayĂ© de le redĂ©marrer Ă  plusieurs reprises, mais en vain, comme si une force invisible le retenait. » Baba SalĂ© s’installa Ă  sa place et lui dit : « Maintenant que je suis lĂ , tu peux essayer Ă  nouveau. » Le chauffeur tourna la clĂ©, et cette fois, le moteur dĂ©marra immĂ©diatement, comme si rien ne s’était passĂ©. Il comprit alors qu’il Ă©tait en prĂ©sence d’un homme saint et, par respect, refusa catĂ©goriquement de lui faire payer le trajet. Plus tard, Baba SalĂ© raconta cette histoire et ajouta avec un soupir : « Ce qui m’étonne, c’est que pas un seul des autres passagers du bus n’est descendu pour prier Min’ha avec moi. S’ils l’avaient fait, nous aurions pu avoir un Minyan et rĂ©citer la ‘Hazara et la KĂ©doucha comme il se doit ! »
Tweet media one
4
10
77
@Torah_Box
Torah-Box
12 days
C'est qui le vrai boss ? Aucun Ɠil n’est restĂ© sec devant les images des captives qui, aprĂšs plus d’un an dans le GuĂ©hinam (l’enfer) de Gaza, retrouvent enfin leur libertĂ© et rejoignent leur famille. En contrepartie, nous avons dĂ» libĂ©rer des dizaines de terroristes meurtriers, sans qu’un accord concernant tous les captifs ne soit conclu. Si tout le monde s’accorde sur l’impĂ©ratif de libĂ©rer ces otages, les questions concernant le prix payĂ© sont nombreuses. “ Est-ce que ce traitĂ© a Ă©tĂ© bien gĂ©rĂ© ? Ne pouvions-nous pas obtenir un meilleur Ă©change ?”, peut-on lĂ©gitimement s’interroger. Mais en rĂ©alitĂ©, ces questions n'ont pas lieu d’ĂȘtre, car il n’y avait pas de choix : Donald Trump a utilisĂ© tous les moyens pour “convaincre” qu’il fallait fixer un accord entre IsraĂ«l et le ‘Hamas coĂ»te que coĂ»te. Il lui Ă©tait important que, le jour de son intronisation au Capitole, il puisse montrer au monde qu’avant mĂȘme de prendre ses fonctions de prĂ©sident, il Ă©tait capable de trouver des solutions lĂ  oĂč les autres avaient Ă©chouĂ©. Comment pouvait-on refuser l’offre, mĂȘme si l’on aurait aimĂ© la bonifier ? AprĂšs plus de 70 ans d’existence, au cours desquels l’État hĂ©breu a aspirĂ© Ă  ĂȘtre libre d’assurer son destin, il s’avĂšre que, dans des dĂ©cisions cruciales, il dĂ©pend de l’opinion d’un boss Ă©tranger qui lui dicte ce qu’il doit faire. Triste, n’est-ce pas ? L’accord signĂ© marque aussi l’arrĂȘt de l’offensive que mĂšne Tsahal Ă  Gaza, destinĂ©e Ă  dĂ©manteler totalement le ‘Hamas. En attendant, l’armĂ©e israĂ©lienne se tourne vers la JudĂ©e-Samarie, oĂč pullulent des terroristes qui constituent eux aussi un grand danger pour le pays. En fait, alors que, du cĂŽtĂ© Nord, tous ceux qui reprĂ©sentaient la plus grande menace pour IsraĂ«l ont Ă©tĂ© miraculeusement Ă©cartĂ©s (le ‘Hezbollah au Liban, la Syrie et l’Iran), Ă  l’intĂ©rieur du pays et au Sud, le pĂ©ril persiste. Les desseins de D.ieu nous Ă©chappent ; car si nous sommes vraiment mĂ©ritants, Il peut nous dĂ©barrasser de tous nos ennemis, mĂȘme de ceux qui vivent en terre sainte ! Peut-ĂȘtre la rĂ©ponse Ă  cette question se trouve-t-elle dans la forme symbolique de notre situation : l’ennemi venant du Nord est en fait extĂ©rieur au pays ; par contre, celui qui subsiste vit parmi nous. Il peut ĂȘtre notre voisin de palier, il travaille parmi nous, plaisante avec nous, frĂ©quente les mĂȘmes universitĂ©s et hĂŽpitaux. Mais voilĂ  qu’un jour, il se rĂ©veille sans prĂ©venir, avec l’intention – qu’à D.ieu ne plaise – de rĂ©aliser un acte terroriste. Devant un tel danger, on reste perplexe : comment s’en protĂ©ger ? Comment prĂ©venir ? À dĂ©faut de solution militaire et politique, le Juif a toujours cherchĂ© des solutions d’ordre spirituel. Si le danger est en ton sein, cela signifie qu’il y a un mal en toi que tu laisses s’installer, un mal intĂ©rieur qui n’est autre que le YĂ©tser Hara’. Ce n’est que si tu dĂ©cides de l’affronter et que tu parviens Ă  le faire plier que D.ieu S’occupera de tes ennemis qui agissent dans ton propre pays, car pour Lui rien n’est difficile ni impossible ! Dans le mĂȘme esprit, on pourrait tout aussi bien dire que si le Juif accepte D.ieu comme unique Boss, alors il n’a plus Ă  craindre qu’un boss de chair et d’os, avec sa grosse criniĂšre, lui dicte sa conduite. Ce dernier ne reprĂ©sente qu’un pantin dans le thĂ©Ăątre de l’Histoire. Ce n’est que lorsque l’on s’éloigne du CrĂ©ateur que nous tombe le joug des hommes et des Nations. Difficile dĂ©fi ? Peut-ĂȘtre, mais c’est la seule solution. Si nous le relevons, alors nous verrons trĂšs vite l’avĂšnement de Machia’h TsidkĂ©nou ! Rav Daniel Scemama pour
Tweet media one
0
3
11