1er jour du
#morinktober
de
@marieboiseau
avec le mot "Pastel". J'en ai grave chié, c'est mon 4e essai. Ça faisait une éternité que j'avais pas fait d'aquarelle et j'en ai chialé de frustration de pas réussir à faire ce que je voulais, mais j'ai pas abandonné ahahahah. Voilà.
Les mecs que j'ai date : Moi je fête pas la Saint Valentin, c'est commercial et pas spontané, je préfère faire des trucs romantiques le reste de l'année.
Les même mecs : *organise jamais rien de romantique le reste de l'année*
J'ai sorti le bikini. Rien à foutre des vergetures, du gras et des poils !
Je me suis éclatée avec mon fils et mon amoureux et tout le monde s'en fichait. ❤️
Meilleure journée ☀️
Je cherche des témoignages de daron·nes qui ont une relation à chier avec leurs parents, mais qui sont arrivés à avoir une relation saine et belle avec leurs enfants.
Please, j'ai besoin de lire des trucs comme ça. J'ai peur de ne pas savoir faire.
@byfmmf
C'était bien mais ensuite la meuf a pété un câble et je me suis retrouvée coincée dans le jardin avec mon joint pdt qu'ils s'engueulaient jusqu'à 3h du mat et puis j'ai dormi sur le canapé.
En fait, j'ai besoin que ça sorte quelque part pour passer à la suite de ma vie.
On va faire la liste de pourquoi aujourd'hui je suis terrorisée des relations et que j'ai arrêté toute recherche de relation avec les hommes bien que je sois bi.
TW description de viols
J'en ai foutrement marre des bagnoles des valides qui prennent la place handi. Ca me fait des coups d'adrénaline de fou et ça m'énerve.
Je vais m'imprimer des stickers pour les emmerder, si vous avez des idées de punchline bien honteuses, je suis toute ouïe.
J'en ai foutrement marre des bagnoles des valides qui prennent la place handi. Ca me fait des coups d'adrénaline de fou et ça m'énerve.
Je vais m'imprimer des stickers pour les emmerder, si vous avez des idées de punchline bien honteuses, je suis toute ouïe.
Cette semaine je me suis rendu compte que je ne suis plus en dépression.
Un jour où je n'allais pas bien (malade, pas dormi de la nuit, cauchemar qui m'a rendue triste,...) on m'a demandé "ça va ?" et en fait ça allait. J'étais optimiste.
Au début j'étais d'accord : si c'est pour se branler les noix toute l'année et faire des efforts qu'à la St Valentin c'est pas la peine.
Mais en fait ils ont trouvé l'astuce pour rien branler tout le temps ! Bravooo
J'avais envie de faire une nouvelle petite moelleuse dans l'espace... C'est pas la dernière, ça me plait beaucoup de les peindre.
💫 Format A6 / Aquarelle & Gouache
@derwegdersonne
@Audermatte
J'ai été élevée comme ça, je vote à gauche parce que je me soucie de mon prochain quelque soit sa nationalité, t'es juste con, c'est pas la faute à tes parents. 🤷♀️
@anchara_
Ca veut pas dire que les gosses auront pas tout le support financier possible pendant qu'ils sont vivants les parents (études, logement,..). Ca veut juste dire qu'ils auront à bosser comme tout le monde plutôt que juste hériter d'une fortune de malade sans bouger le petit doigt.
Ce mec était l'exemple du profem parfait. Il avait bouffé tous les codes du féminisme pour que toi, en tant que meuf, tu aies l'impression d'en savoir moins que lui. Il était armé jusqu'aux dents pour le moindre débat qu'il soit militant ou personnel.
Tw viols
J'ai eu la preuve écrite grâce à
@Sapphic_Warlock
qu'il était au courant que je ne voulais pas de ça, même en me le faisant. Je suis maintenant persuadée que sa manipulation est consciente. Il se cachait derrière des oublis, c'est fini.
Et moi j'arrête d'anonymiser.
La fois d'après, à l'hôtel, il m'a fistée en me le disant qu'après. J'avais joui. J'étais honteuse et je ne pouvais rien dire d'autre que d'aller dans son sens quand "finalement tu aimes bien ça".
Allez, après un sursaut de courage grâce aux encouragements sur mon pv, je vous montre mon bidon zébré de maman, que j'aime pas beaucoup normalement... Mais là, je l'aime bien. ☺️
Je ne pouvais pas lui en parler. Car un de ses triggers était qu'on lui dise que quelque chose s'était mal passé alors qu'il pensait le contraire. Je ne pouvais pas lui dire qu'il me mentait ou qu'il était malhonnête, c'était un trigger (je n'invente rien).
Maintenant j'en ris nerveusement de ce qu'il a choisi de me partager alors que je lui parlais de mes viols. Mais à l'époque j'ai juste culpabilisé au lieu de me sentir écoutée. Moralité : parler avec ses violeurs n'a aucun intérêt.
#PlusDe70kgEtSereine
et même heureuse ☀️
Avec un suçon de mon amoureux sur la 3ème, preuve que je suis désirée à fond, avec mon double menton et tout le reste. 😁
Toutes les conversations que j'avais avec lui, quand les redflag se faisaient ressentir de mon côté, étaient gaslights. Tous mes ressentis étaient retournés contre moi et je finissais par dire désolée et repartir honteuse.
Christophe a été témoin de tout ça bien trop de fois.
Il a utilisé ses privilèges et sa position (10 ans de + que moi, prof, hyper charismatique et très éloquent) pour me faire taire et "gagner" les débats. Encore une fois, quelque soit la portée du débat. Engueulade ou militantisme.
Pour moi ce n'est plus pensable de faire confiance à des hommes. Je ne parle plus de bdsm car peu importe le consentement que je donnerai, on me considérera comme une soumise qui kiffe être forcée.
Il m'a virée de son appart alors que j'avais nul part où aller (j'avais 18 ans et ma m��re m'avait foutue à la porte), pendant la période de Noël, pour pouvoir coucher avec une autre meuf qu'il avait dans son viseur depuis longtemps.
🎄🎅
J'ai pu répondre "non" à son "ça va ?" et c'est bien heureux, car c'est loin d'être systématique de pouvoir répondre non lorsqu'on est agressée. Je sais que moi c'est compliqué. D'où les discussions préliminaires avant une séance bdsm...
J'ai mis plusieurs mois à me rendre compte du trauma. Pcq ouais, je l'aimais. Et j'ai mon lot de traumas vis à vis des hommes qui fait que j'ai tendance à me laisser faire pour tout. Mais là c'était différent. J'avais prévenu avant, les deux fois. Et on m'avait ignorée.
Il a utilisé la Communication Non Violente comme un argument. Si je n'y arrivais pas car j'étais dépassée par mes ressentis, c'était un trigger pour lui et j'avais tord.
La confiance que j'avais en moi et les autres a pris un grand coup dans la gueule. J'espère qu'un jour j'arriverai à faire confiance à nouveau même si ça me terrifie.
J'étais bdsm et sex positive à fond avant. Pendant la relation j'ai fini par rejeter le bdsm entièrement, ne plus réussir à jouir du clitoris et être dégoutée et effrayée du sexe.
Maintenant je suis toujours terrorisée et ne veux plus de pratiques bdsm.
Il m'a sexualisée tout le long de la relation, malgré mes demandes qu'il arrête. Que ce soit des blagues me concernant et le fait que j'aime baiser ou ses réactions lorsque je disais pouvoir vivre des relations platoniques, ne pas avoir de libido,...
@Peaupiette
Comme s'il fallait les convaincre qu'ils ont quelque chose à y gagner pcq sans ça aucun intérêt pour eux de respecter la personne avec qui ils couchent.
@anchara_
Je pense que leurs gosses auront assez de privilèges de tous les côtés pour pas s'inquiéter de leurs futurs. Par contre hériter d'une grosse fortune comme ça, c'est de toute façon injuste cette répartition.
J'ai eu une relation poly de + d'un an avec mon ex. J'étais malheureuse constamment bien que j'avais l'impression de vivre une belle histoire. Je ne savais pas pourquoi, j'étais en insécurité constante. 6 mois après la rupture, j'ai ma petite idée.
J'avais précisé avant notre premier date que je ne voulais PAS de bdsm au premier date.
Je me suis retrouvée avec ses mains autour de mon cou, jusqu'à ce qu'il arrête pcq je ne réagissais plus comme il faut. Oui effectivement c'était pas dans mes plans.
Je sais que c'est pas ma faute, mais les faits sont là. Je me suis exposée à une relation extrêmement trauma pendant super longtemps avec le sourire et en validant son comportement. Not anymore at least.
Je sais qu'il utilisait la communication non violente dans les débats publics sur Twitter et Facebook comme un moyen de paraître la personne la plus raisonnée du débat.
Je me déteste de m'être laissée faire si longtemps et de ne pas avoir pu me rendre compte de la manipulation et des abus. Je me déteste parce que j'ai peur que ça puisse à nouveau arriver sans que je m'en rende compte.
moi à mon ex : ma + grosse angoisse 'est d'être aimée que pour le sexe
mon ex : c'est pas le cas!
aussi mon ex : me sexualise h24 que ce soit en face à face ou en parlant de moi à sa famille / ami·es / relations
Bizarrement j'étais pas secure dans cette relation.
Donc nous avons fait un tableau de pratiques bdsm, pour en savoir + sur les envies et triggers de l'un et l'autre.
J'ai inventé une nouvelle réponse à une pratique, le "NOPE" en gras et rouge pcq énormément trigger pour moi. C'était le fist.
La fois d'après, à l'hôtel, il m'a fistée en me le disant qu'après. J'avais joui. J'étais honteuse et je ne pouvais rien dire d'autre que d'aller dans son sens quand "finalement tu aimes bien ça".
Il m'a attrapé par la nuque, m'a demandé de me desapper, m'a forcé la fellation, le tout pendant que je pleurais sans savoir pourquoi. Je m'étais faite jolie pour lui et il me traitait comme ça et attendait que j'aime ça. J'ai fait semblant et je me suis tu. Pas d'aftercare.
Pareil, la sodomie est une pratique que je ne fais que de façon très occasionnelle vu mes traumas la concernant. Ça ne l'a pas empêché de me relancer constamment sur cette pratique, que ce soit en situation (me toucher là) ou me demander si mon cul était réparé pour ça,
D'ailleurs, une expérience après ma rupture avec lui avec une autre personne transmasculine m'a définitivement fait arrêter le bdsm et rejeter la masculinité. Pareil je précise que je ne veux pas de bdsm, et je finis tout de même soumise lors de notre date.
Je me suis libérée des choses les plus lourdes. Il y aurait encore beaucoup à dire de cette relation. Mais je crois que je n'ai pas besoin d'aller + loin?
Maintenant j'aimerai apprendre à guérir et passer à autre chose tout en acceptant cette partie de ma vie.
En + de la non écoute de mes triggers et du consentement, après le cul (qui était toujours bdsm disons le), zéro aftercare. Je ne sais pas si c'était que moi qui n'y avait pas droit, mais ça a participé à ma soumission totale et plus tard à mon rejet.
Tout plein de détails qui rendent la lucidité sur la situation que + dure. J'ai vécu un enfer enfermée dans ma tête et cette relation jusqu'à que j'arrive à identifier au moins une chose : je ne suis pas heureuse.
Une fois partie, le reste m'a rattrapée.
Au final j'arrivais plus à jouir avec personne ni seule ni d'autres, ça fait que récemment que j'y arrive à nouveau. J'ai enfin réussi à reprendre le contrôle de mon plaisir. Qui ne passe PAS par la penetration, contrairement à ce qu'il me disait tout le temps.
Je ne pratique déjà pas la strangulation en temps normal, je ne voulais pas de bdsm avec un inconnu, qu'il me demande mon safeword par surprise ne change rien. L'état de choc a fait que j'ai rien dit et je me suis laissée faire.
Je trouve ça terrifiant d'avoir été manipulée de cette façon tout en étant entourée de personnes ultra bienveillantes et féministes, tout en étant en couple avec mon compagnon de + de 10 ans.
Il était aussi très bien entouré. Et par des gens formidables.
Il aura fallu que j'en parle. Que je sois loin de lui et que peu à peu je me foute de ce qu'il pourrait dire ou penser de moi. Que je me détache de lui et de son environnement. Là j'ai pu tout voir. Ça fait 6 mois que je me tape flash-backs sur flash-backs.
La majorité de tout ça je lui en ai parlé après la rupture et il a réussi à me faire taire et me manipuler pour que je me taise. Il a même confronté mes viols à une fois où j'ai ri nerveusement pendant le sexe qui l'avait trigger.
Parce qu'à chaque trauma et agressions, je refoulais, la communication n'étant pas possible, ça n'était pas possible pour moi de garder cette réalité en tête. Mon cerveau se protégeait autrement et sans que je sois consciente du pourquoi.
Je n'arrivais pas à jouir avec lui du clito. Il m'a fait culpabiliser et a fini par s'en foutre totalement que je jouisse.
Pendant un trio j'ai joui avec la partenaire qui nous avait rejoint : il a fait la gueule pendant le cunni. M'a reproché de ne pas lui avoir assez expliqué.
Et un coup du lapin en prime pour moi, histoire de me rappeler pendant des semaines ce que j'avais vécu et accepté sans broncher. Après ça, le bdsm a doucement commencé à devenir un dégoût pour moi et un rejet sans que j'arrive à identifier la raison.
Le pire c'est qu'il utilise la situation où il m'a agressée pour convaincre
@Sapphic_Warlock
que ses triggers peuvent être dépassés. Il m'utilise comme exemple.
Les témoignages contre Aurélien s'accumulent en privé, par des anciennes victimes qui ne veulent pas témoigner en publics pour diverses raisons bien légitimes.
Nos témoignages auront ouvert la porte à d'autres, et je suis fière que nous ayons brisé le silence.
En fait, j'ai besoin que ça sorte quelque part pour passer à la suite de ma vie.
On va faire la liste de pourquoi aujourd'hui je suis terrorisée des relations et que j'ai arrêté toute recherche de relation avec les hommes bien que je sois bi.
TW description de viols
Une des fois où je me suis rendu compte du viol, c'était lors d'une séance bdsm pas du tout prévue comme telle. On devait être seuls au milieu d'une semaine où nous n'avions jamais été seuls. Je me suis habillée joliment, maquillée, pour lui et passer un chouette moment.