![Edouard 🌐⚛️🏗️👶🇺🇦🇹🇼🇰🇷🇦🇲🇮🇱 Profile](https://pbs.twimg.com/profile_images/1750829218122833920/TPvkpsEj_x96.jpg)
Edouard 🌐⚛️🏗️👶🇺🇦🇹🇼🇰🇷🇦🇲🇮🇱
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Libéral LGBT (libertarien/growth/business-as-usual/technocapitaliste) | Pro-IVG & Pro-Nataliste 👶 | Voitures Autonomes | YIMBY 🏗️🌇 | #UkraineWillWin 🇺🇦
Paris, Ile-de-France
Joined March 2010
RT @FerghaneA: Bonjour Madame Safaris (@avriogata). J'ai lu avec intérêt votre papier dans @arretsurimages sur ce que vous qualifiez « d'…
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@democrateinconu Quelle tristesse absolue la fin des libertés à HK. Les libertés rognées une à une, le PCC a gagné.
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@jdl288 @saveurdantan Oui si la natalité ne repart pas à la hausse les décennies à venir vont être mouvementées… turbo-gérontocratie à venir, très inquiétant.
L'Europe s'éteint lentement : aucun pays n'atteint le taux de renouvellement des générations. Cette carte est celle d'un continent qui disparaît à petit feu. J’observe encore beaucoup de confusion à ce sujet, donc je me permets d'insister. Une population grisonnante et en déclin est nécessairement une mauvaise chose pour tout le monde. Ce n’est pas pour rien que les décroissants malthusiens se réjouissent de la dénatalité. Sans ordre particulier : - Moins de gens = moins de division du travail, moins de spécialisation économique, donc moins de productivité - Moins de scientifiques, moins d'innovateurs, et moins de financement pour la science. Ça va brider la capacité de l’humanité à continuer à résoudre les problèmes et améliorer la vie de tout le monde - Un pays avec plein de vieux et peu de jeunes, c'est aussi une culture du déclin, de la décroissance, du conservatisme, qui regarde vers le passé et non vers l'avenir. On observe dès aujourd’hui des boomers NIMBY qui bloquent tous les projets : le problème sera démultiplié quand ils représenteront un % toujours plus élevé de la pop. - Beaucoup de vieux et peu d'actifs, c'est bien évidemment une catastrophe pour les systèmes de retraite, que ce soit par répartition ou capitalisation (plus résiliente si investie à l'étranger - mais la dénatalité frappe le monde entier) - Arrive un moment où il y a si peu d'actifs qu'on tombe dans des pénuries de travailleurs : on manque de personnes pour la construction, on manque d'aides-soignants, de livreurs, d’électriciens, etc etc etc. L'économie devient dysfonctionnelle avec des pénueries de travailleurs essentiels - Moins de gens, une économie en décroissance, c'est aussi l'incapacité de financer de grands projets avec des coûts fixes, typiquement des centrales nucléaires ou encore toutes sortes d’infrastructures - Enfin, malgré les problèmes la vie dans les pays riches est globalement heureuse. Moins de gens c'est tout simplement moins de personnes qui profitent de la vie : amitiés, amour, partage, passions, voyages, art, etc. La crise de dénatalité ne peut jamais être une bonne nouvelle, ou un phénomène qu’on doit passivement accepter. La dénatalité doit être traité comme un problème fondamental, au même titre que la croissance économique, le logement ou encore le réchauffement climatique. On a besoin d’un sursaut nataliste libéral, avant que la situation dégénère type Japon, Corée du Sud ou Italie.
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@Echangesclimat Le problème c’est qu’une très large partie de la littérature scientifique est derrière des paywall délirants. J’ai déjà essayé avec plusieurs LLM, ça ne fonctionne pas. Il faut que les LLM nouent des accords avec les éditeurs.
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@RKerjouan @sjowall69 Le principal facteur se trouve ici : une chute dans le taux de formation des couples, en particulier les mariages.
Coupling and Fertility are Falling. In Finland, Mexico, Peru, South Korea, Thailand, Turkey and the US, both are going down. Superb column by @jburnmurdoch A must-read for anyone interested in why fertility is falling, and how to respond. 🧵
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@pat_2079 @sjowall69 Réponse ici. C’est grave.
L'Europe s'éteint lentement : aucun pays n'atteint le taux de renouvellement des générations. Cette carte est celle d'un continent qui disparaît à petit feu. J’observe encore beaucoup de confusion à ce sujet, donc je me permets d'insister. Une population grisonnante et en déclin est nécessairement une mauvaise chose pour tout le monde. Ce n’est pas pour rien que les décroissants malthusiens se réjouissent de la dénatalité. Sans ordre particulier : - Moins de gens = moins de division du travail, moins de spécialisation économique, donc moins de productivité - Moins de scientifiques, moins d'innovateurs, et moins de financement pour la science. Ça va brider la capacité de l’humanité à continuer à résoudre les problèmes et améliorer la vie de tout le monde - Un pays avec plein de vieux et peu de jeunes, c'est aussi une culture du déclin, de la décroissance, du conservatisme, qui regarde vers le passé et non vers l'avenir. On observe dès aujourd’hui des boomers NIMBY qui bloquent tous les projets : le problème sera démultiplié quand ils représenteront un % toujours plus élevé de la pop. - Beaucoup de vieux et peu d'actifs, c'est bien évidemment une catastrophe pour les systèmes de retraite, que ce soit par répartition ou capitalisation (plus résiliente si investie à l'étranger - mais la dénatalité frappe le monde entier) - Arrive un moment où il y a si peu d'actifs qu'on tombe dans des pénuries de travailleurs : on manque de personnes pour la construction, on manque d'aides-soignants, de livreurs, d’électriciens, etc etc etc. L'économie devient dysfonctionnelle avec des pénueries de travailleurs essentiels - Moins de gens, une économie en décroissance, c'est aussi l'incapacité de financer de grands projets avec des coûts fixes, typiquement des centrales nucléaires ou encore toutes sortes d’infrastructures - Enfin, malgré les problèmes la vie dans les pays riches est globalement heureuse. Moins de gens c'est tout simplement moins de personnes qui profitent de la vie : amitiés, amour, partage, passions, voyages, art, etc. La crise de dénatalité ne peut jamais être une bonne nouvelle, ou un phénomène qu’on doit passivement accepter. La dénatalité doit être traité comme un problème fondamental, au même titre que la croissance économique, le logement ou encore le réchauffement climatique. On a besoin d’un sursaut nataliste libéral, avant que la situation dégénère type Japon, Corée du Sud ou Italie.
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@sjowall69 Oui j’ai vu cette stat c’est déprimant, terrifiant : le poids de plus en plus écrasant des vieux dans la société va aboutir à une turbo-gérontocratie qui va faire tant de mal. Très grave menace.
L'Europe s'éteint lentement : aucun pays n'atteint le taux de renouvellement des générations. Cette carte est celle d'un continent qui disparaît à petit feu. J’observe encore beaucoup de confusion à ce sujet, donc je me permets d'insister. Une population grisonnante et en déclin est nécessairement une mauvaise chose pour tout le monde. Ce n’est pas pour rien que les décroissants malthusiens se réjouissent de la dénatalité. Sans ordre particulier : - Moins de gens = moins de division du travail, moins de spécialisation économique, donc moins de productivité - Moins de scientifiques, moins d'innovateurs, et moins de financement pour la science. Ça va brider la capacité de l’humanité à continuer à résoudre les problèmes et améliorer la vie de tout le monde - Un pays avec plein de vieux et peu de jeunes, c'est aussi une culture du déclin, de la décroissance, du conservatisme, qui regarde vers le passé et non vers l'avenir. On observe dès aujourd’hui des boomers NIMBY qui bloquent tous les projets : le problème sera démultiplié quand ils représenteront un % toujours plus élevé de la pop. - Beaucoup de vieux et peu d'actifs, c'est bien évidemment une catastrophe pour les systèmes de retraite, que ce soit par répartition ou capitalisation (plus résiliente si investie à l'étranger - mais la dénatalité frappe le monde entier) - Arrive un moment où il y a si peu d'actifs qu'on tombe dans des pénuries de travailleurs : on manque de personnes pour la construction, on manque d'aides-soignants, de livreurs, d’électriciens, etc etc etc. L'économie devient dysfonctionnelle avec des pénueries de travailleurs essentiels - Moins de gens, une économie en décroissance, c'est aussi l'incapacité de financer de grands projets avec des coûts fixes, typiquement des centrales nucléaires ou encore toutes sortes d’infrastructures - Enfin, malgré les problèmes la vie dans les pays riches est globalement heureuse. Moins de gens c'est tout simplement moins de personnes qui profitent de la vie : amitiés, amour, partage, passions, voyages, art, etc. La crise de dénatalité ne peut jamais être une bonne nouvelle, ou un phénomène qu’on doit passivement accepter. La dénatalité doit être traité comme un problème fondamental, au même titre que la croissance économique, le logement ou encore le réchauffement climatique. On a besoin d’un sursaut nataliste libéral, avant que la situation dégénère type Japon, Corée du Sud ou Italie.
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@PHactNeutre C'est une catastrophe cher PH, une véritable catastrophe. On se dirige tout droit vers une turbo-gérontocratie à mesure que le poids des vieux dans nos sociétés va exploser.
L'Europe s'éteint lentement : aucun pays n'atteint le taux de renouvellement des générations. Cette carte est celle d'un continent qui disparaît à petit feu. J’observe encore beaucoup de confusion à ce sujet, donc je me permets d'insister. Une population grisonnante et en déclin est nécessairement une mauvaise chose pour tout le monde. Ce n’est pas pour rien que les décroissants malthusiens se réjouissent de la dénatalité. Sans ordre particulier : - Moins de gens = moins de division du travail, moins de spécialisation économique, donc moins de productivité - Moins de scientifiques, moins d'innovateurs, et moins de financement pour la science. Ça va brider la capacité de l’humanité à continuer à résoudre les problèmes et améliorer la vie de tout le monde - Un pays avec plein de vieux et peu de jeunes, c'est aussi une culture du déclin, de la décroissance, du conservatisme, qui regarde vers le passé et non vers l'avenir. On observe dès aujourd’hui des boomers NIMBY qui bloquent tous les projets : le problème sera démultiplié quand ils représenteront un % toujours plus élevé de la pop. - Beaucoup de vieux et peu d'actifs, c'est bien évidemment une catastrophe pour les systèmes de retraite, que ce soit par répartition ou capitalisation (plus résiliente si investie à l'étranger - mais la dénatalité frappe le monde entier) - Arrive un moment où il y a si peu d'actifs qu'on tombe dans des pénuries de travailleurs : on manque de personnes pour la construction, on manque d'aides-soignants, de livreurs, d’électriciens, etc etc etc. L'économie devient dysfonctionnelle avec des pénueries de travailleurs essentiels - Moins de gens, une économie en décroissance, c'est aussi l'incapacité de financer de grands projets avec des coûts fixes, typiquement des centrales nucléaires ou encore toutes sortes d’infrastructures - Enfin, malgré les problèmes la vie dans les pays riches est globalement heureuse. Moins de gens c'est tout simplement moins de personnes qui profitent de la vie : amitiés, amour, partage, passions, voyages, art, etc. La crise de dénatalité ne peut jamais être une bonne nouvelle, ou un phénomène qu’on doit passivement accepter. La dénatalité doit être traité comme un problème fondamental, au même titre que la croissance économique, le logement ou encore le réchauffement climatique. On a besoin d’un sursaut nataliste libéral, avant que la situation dégénère type Japon, Corée du Sud ou Italie.
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@Qraaal On ne devrait jamais être satisfait tant que l'énergie n'est pas si abondante qu'elle en devient presque gratuite.
Le grand ralentissement a commencé quand on a commencé à rationner l'énergie. Redémarrer le progrès implique de rendre l'énergie tellement abondante qu'elle devienne presque gratuite. @WorksInProgMag⚡️
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Head Start c'est un budget de 10 milliards $, une goutte d'eau dans le budget de l'État américain. Dans le même temps, des réglementations très contraignantes empêchent l'existence de services de garde privés abondants et donc bon marché. Il n'est donc pas surprenant que le taux de fécondité continue de chuter aux États-Unis (1,6 enfant par femme en 2024).
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