RT @groupeRN_off: 🔴 La nationalité française doit s'obtenir soit parce que vous avez l'un de vos deux parents français, soit parce que vous….

Quand allons-nous arrêter cette folie ?.

Cette dérive grave, qui consiste à menacer de mort tous ceux - policiers, juges, élus, artistes… - avec lesquels certains se sentent en désaccord, est une évolution inquiétante qui doit faire l’objet, compte tenu de son ampleur, d’une réflexion de la justice. La banalisation de.

Dans leur immense majorité, les Français ont été choqués par les scènes qui ont eu lieu à l'annonce du décès de mon père. La culture française, c'est le respect des morts. Ça en dit davantage sur eux que sur la personne contre laquelle ils manifestaient.

Jean-Marie Le Pen était un combattant. Je retiens de lui un modèle, au-delà de ses erreurs, de ses défauts. Je retiens une pugnacité. Je retiens une vraie sincérité dans l'amour qu'il portait au pays et dans les sacrifices qu'il était capable de faire pour lui.

C'est une immense douleur que j'ai causée à mon père en l'excluant du parti. Mais je ne pouvais pas faire autrement. J'ai assumé de prendre cette décision tout en sachant que je ne me la pardonnerais pas.

À Mayotte, comme sur l'ensemble du territoire français, il faut supprimer le droit du sol. La nationalité française doit s'obtenir soit parce que vous avez l'un de vos deux parents français, soit parce que vous méritez de devenir français.

J'aspire à diriger la France. La France est une puissance particulière. C'est une puissance d'équilibre, une puissance non-alignée. Une puissance qui ne peut pas devenir soumise à quiconque, ni aux États-Unis, ni à l'Union européenne, ni à la Russie, ni à aucune autre puissance.

Emmanuel Macron veut organiser des référendums, mais sur quels sujets ?. Nous, ce que nous souhaitons, c'est qu'un grand référendum constitutionnel soit soumis au vote des Français pour leur permettre de reprendre le contrôle de notre politique d'immigration.

Juger les gens en fonction de la couleur de leur peau, c'est la vision de la gauche, ce n'est pas la mienne, ni celle de la France. Moi, ce qui m'intéresse, c'est l'appartenance à la nation, quelle que soit la couleur de peau, quelle que soit la religion.

Avec Jean-Luc Mélenchon, nous sommes des adversaires politiques. Je l'ai vu évoluer, je l'ai vu devenir hypocrite, devenir électoraliste. Il fait du clientélisme sur le dos de l'unité du pays, du refus – qui était avant tout très largement partagé – du communautarisme.

L'Algérie a un peuple qui est sacrifié, une jeunesse qui n'a aucun avenir. C'est de la faute des dirigeants algériens, pas de la France. La France n'a aucune responsabilité dans cette situation et, contrairement à certains, je ne céderai pas à la repentance

Avec l'Algérie, et tous les pays qui refusent de reprendre leurs clandestins, je ferais exactement ce qu'a fait Donald Trump avec la Colombie. Il y a des mesures de rétorsion à mettre en place : plus aucun transfert d'argent, plus un seul visa, y compris pour les dirigeants.

Bruno Retailleau dit beaucoup de choses. Il dit qu'il est pour la suppression du droit du sol. Il dit, mais quand est-ce qu'il fait ?. Il dit qu'un clandestin peut être régularisé au bout de sept ans. Moi je dis qu'aucun clandestin ne devrait pouvoir être régularisé.

Il y a une philosophie pénale qui est entièrement à revoir. J'en parlais déjà lors de la présidentielle : nous devons resacraliser l'intégrité physique. On a laissé se constituer un sentiment d'impunité chez les jeunes délinquants qui, pour certains, deviennent des criminels.

Avant de demander encore des efforts toujours aux mêmes, c'est-à-dire aux Français, est-il possible de couper dans les mauvaises dépenses de l'État ?. Est-il possible d'arrêter avec l'Aide médicale d'État ?. Est-ce qu'on peut travailler sur la productivité du travail ?

Si nos lignes rouges sont dépassées et que François Bayrou présente le même budget que Michel Barnier, alors nous censurerons. Il est possible de présenter un budget qui soit un bon budget, si tant est qu'on en ait la volonté politique.

Nous avons censuré Michel Barnier parce qu'il avait créé 40 milliards d'impôts supplémentaires. Si aujourd'hui le chômage repart à la hausse, si nos finances publiques sont dégradées, ce n'est pas à cause de la censure, mais à cause de la politique menée par Emmanuel Macron.

Je ne demande pas la démission du président de la République, ce n'est pas conforme à nos institutions. Mais je n'exclus pas qu'Emmanuel Macron soit, à un moment donné ou à un autre, contraint de le faire. C'est son choix, et c'est une possibilité offerte par la Constitution.

Si demain nous avons une majorité à l'Assemblée nationale, ce sera Jordan Bardella qui sera Premier ministre. Nous travaillerons ensemble pour l'intérêt des Français. Notre duo fonctionne très bien et je suis persuadée qu'ensemble, nous ferons nos preuves.