"J’en veux beaucoup à ceux qui, au pouvoir, n’ont cessé de brandir les «valeurs de la République» tout en désarmant l’État et en faisant preuve de la pire des faiblesses. C’est à ces gens-là, qui sont moins des républicains que des démocrates au sens anglo-saxon, qu’il faut demander des comptes."

RT @Le_Figaro: Réussite scolaire, insertion sur le marché du travail, sentiment d’appartenance à la France... L’Observatoire de l’immigrati…

RT @AlexDevecchio: « Les gueux face aux Zones à Forte Exclusion ». Ma chronique dans @FigaroMagazine_ ce week-end. "Les #ZFE sont des « Zo…

Le nombre de mineurs mis en cause par les forces de l'ordre pour crimes et délits a doublé depuis les années 1990. 100 000 professeurs sont menacés ou agressés chaque année. La dernière étude de la DEPP démontre une explosion des violences scolaires. Et, selon PISA, la part des élèves 🇫🇷 qui disent avoir vu un couteau ou une arme à feu en circulation dans leur établissement représente le double de celle des États-Unis et le triple de celle du Mexique. Pourtant, à lire ce professeur d'université émérite en "sciences" de l'éducation dans @lemondefr, "il n'y a pas d'augmentation du nombre de victimes" (étrangement, aucun chiffre ne soutient cette thèse). La violence des mineurs ne serait qu'un "stéréotype", "de retour" grâce au concours du "personnel politique" et de "certains médias" (d'extrême-droite ?). Et le discours sur "l'ensauvagement" et la "décivilisation" un moyen bien commode de taire les violences "institutionnelles" (on imagine le choc des savoirs). La semaine dernière sur @franceinter, ce même "spécialiste" déclarait : "Quand on a une victime, il faut la considérer de manière exceptionnelle et non pas dans une série récupérée pour des besoins sécuritaires et politiques." (Surtout ne jamais rien changer, tant pis si les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets...) Éric Debarbieux a été délégué ministériel en charge de la prévention et de la lutte contre les violences à l’école de 2012 et 2016, sous une certaine Najat Vallaud-Belkacem. Son discours, qui est à la vérité ce que Lyssenko est à la science, continue d'avoir pignon sur rue dans la technostructure de l'Éducation nationale, la formation des professeurs et la définition de la doxa éducative. Il est la preuve supplémentaire que le redressement de l'école demain ne viendra pas de ceux qui ont participé à sa faillite hier (et qui, par idéologie et par déni, continuent de détruire le peu qui tient encore debout).

RT @chevenement: « L’Algérie ne peut que gagner à respecter la liberté du grand écrivain qu’est Boualem Sansal. Rappelons-nous de Gaulle à…

RT @EtienneCampion: On l’a entendu sur France Inter, on l’a lu dans Libération, mais encore fallait-il aller plus loin : juger Geoffroy de…

RT @CNEWS: Joachim Le Floch-Imad, essayiste et enseignant, sur la diatribe proférée par Jean-Luc Mélenchon, qui s'attaque à la France rural…

RT @fondarespublica: La dernière note de lecture de notre Fondation, par Marie-Françoise Bechtel, est en ligne ! Elle porte sur le dernier…

RT @hadrienmathoux: Refus de la pensée unique, impertinence, « honnêteté journalistique » préférée à une illusoire objectivité : fondateur…

Tout y passe dans @lemondefr pour édulcorer les nécessaires diagnostics et intimider ceux qui ne s'accommodent pas de l'apocalypse scolaire en cours : 1/ La "baisse du niveau" est une "rengaine politique" depuis la fin du XIXe siècle donc elle n'existe pas (marche aussi avec l'immigration !) 2/ Le thermomètre utilisé n'est pas le bon (peu importe si les évaluations nationales, PISA, Timms et Pirls vont toutes dans le même sens) 3/ Le sujet est "multifacettes" et le problème plus "complexe" que ce que l'on croit. La notion même de niveau ne veut d’ailleurs rien dire. 4/ L'important c'est la lutte contre "les inégalités" (comme si le caractère inégalitaire de notre école n'avait rien à voir avec les décennies d'égalitarisme derrière nous) 5/ 50 % des collégiens n'ont pas les compétences requises en français et en mathématiques mais ce n'est pas grave : les jeunes français sont en pointe sur les compétences civiques ("adhésion aux VALEURS démocratiques") et plus à l'aise en "numératie" que les plus de 55 ans. Et puis il y a les « compétences psychosociales ». « Le désert croît. Malheur à celui qui protège le désert », écrivait Nietzsche. Un philosophe qu'on ne lit manifestement plus au "Monde". Ça tombe bien : au rythme actuel, aucun jeune Français n'aura les moyens de s'y risquer dans quelques années.

RT @EFolest: Publicité mensongère, frais indus, contrats abusifs, marketing trompeur, faillites, fausses promesses : les établissements qui…

… de toujours plus de fractures et de ressentiment. Il faudra du temps pour tourner la page, mais le volontarisme des premiers décrets et l'inflexion d'une partie significative de la Tech 🇺🇸 vont y aider grandement. A l’Europe d’en tirer des leçons plutôt que de verser toujours plus dans la censure et l’illibéralisme sous couvert de régulation et de bons sentiments.

RT @bpetitjean: ⬛️ La @fondarespublica perd un membre éminent de son conseil scientifique, Lucien Bourgeois. Ses analyses exigeantes permet…

RT @chevenement: 🚨Le prochain colloque de la @fondarespublica - L'avenir de l'Europe: que penser de la "Communauté politique européenne" ?…

RT @PaulSugy: «Il joue au puissant ou à l’initié, vous parle en baissant la voix, montre qu’il sait ce qu’il ne sait en réalité pas toujour…

George Steiner voyait dans la réponse à la question "Tolstoï ou Dostoïevski ?" la voie d’accès la plus sûre au secret du cœur d’un homme. Face à l'effondrement de la parole publique, il lui faudrait revoir son dilemme. Pourquoi pas: "DC Comics ou Marvel ?"

RT @AlexDevecchio: « Du pays de Voltaire à la France de Soumission » Dix ans après « Charlie », que penserait l’auteur de Candide s’il ress…

RT @BaptisteDetombe: Je vous ai concocté une nouvelle tribune alertant face au désastre générationnel et sanitaire qu'implique une civilisa…

… octroyées via la Convention générale de sécurité sociale de 1980, taxe sur les transactions financière, etc. Au point de bascule où nous sommes, les Français attendent le retour d’une volonté politique forte au sommet de l’Etat.