Les Palestiniens, pas le Hamas mais les Palestiniens, acceptent de se comporter en barbares. Ils ont applaudi à un crime contre l’humanité, encensé les tortionnaires du Hamas et sont allés se servir, derrière les militants du Hamas en esclaves en finissant de piller les kibboutz attaqué le 7 octobre. C’est parce qu’ils sont vus comme étant en majorité totalement infeodé à l’idéologie du Hamas qu’aucun de leurs voisins musulmans n’est prêt à en accueillir un seul sur leur territoire. Ils n’ont pas « pris des otages » ni fait des prisonniers. Un otage ou un prisonnier se traitent correctement. Non là ils sont allés se servir en esclaves et ils déshumanisent ceux qui tombent entre leurs griffes. Il ne leur vient même pas à l’idée de libérer leurs proies. On ne voit donc pas très bien pourquoi ils devraient mériter la compassion universelle alors qu’ils paraissent incapables d’un seul geste d’humanité. Même l’excuse du Hamas pour ne pas rendre les esclaves razziés le 7 octobre, c’est justement de dire qu’ils sont entre les mains de la population et qu’ils ne savent pas eux-mêmes ce qu’ils sont devenus. Dans leur grande majorité les Palestiniens adhèrent aux thèses du Hamas et au vu de leur façon de traiter les Juifs razziés et de leur pratique décomplexée de l’esclavage, on se demande bien pourquoi on se sent des obligations de financement à leur égard. Si nos dirigeants étaient autres choses que des lâches, ils seraient unanimes sur la question et appelleraient esclaves ceux que les islamistes présentent comme des « otages ». Ils couperaient les financements à l’UNWRA et toute aide à la Palestine tant que les Palestiniens ne rendent pas tous les otages, y compris les corps. Nous gagnerions, nous occident, à arrêter de cautionner cette fiction d’éternels réfugiés qui empêche toute possibilité de paix.