😢 L'AS Nancy Lorraine, évoluera la saison prochaine en N2, au 4ème échelon français. Il était encore en L1 en 2017. Club formateur de Michel Platini, il a également formé des joueurs comme Vairelles, Gava, Rouyer, Jeannol, Mariot, Rabesandratana, Koné, Hadji ou plus près de nous Haidara, Maouassa ou Lenglet. Quelle catastrophe !

Les réactions de la presse après PSG – Manchester City 📰📻📺 Sébastien Tarrago (L'Equipe) : Je critique assez souvent le PSG pour savoir reconnaitre quand ils font un bon match. Donc bravo à eux pour cette victoire, même si c’était face à un pâle Manchester City. En tout cas, ce ne sont pas ces attardés mentaux de Marseillais qui auraient pu nous sortir une telle prestation. Habib Beye (Canal+) : On en fait beaucoup trop sur Guardiola et Luis Enrique. Tactiquement, cela reste quand même assez basique et surtout très lisible. Allez demander aux adversaires du Red Star l’an dernier et vous verrez que je proposais des choses autrement plus complexes sur le terrain. Maintenant, si les dirigeants de City veulent tourner une page et donner sa chance à l’un des plus prometteurs entraîneurs de la nouvelle génération, je peux me rendre disponible assez rapidement. Cela vaut également pour n’importe quel club français, européen, sud-américain, asiatique ou dans le Golfe. Vincent Moscato (RMC) : Ça fait du bien de voir le PSG se comporter comme une équipe de mecs et pas comme des danseuses étoiles un soir de communion. Ils ont enfin porté leurs couilles et ils ont su se sortir les doigts du cul au meilleur des moments. De toute façon, ce genre de matchs, tu ne peux pas les gagner avec onze pucelles effarouchées qui chouinent au moindre contact et qui mouillent leur slibard dès que le score est contraire. Et puis comme on dit chez moi, grosses balloches dans le caleçon, nuit de folie en prévision. Stéphane Guy (L’Equipe) : Quand des éleveurs de chèvres affrontent des vendeurs de chameaux, ça donne ce genre de spectacle pathétique. Une rencontre sans âme, sans passion, un football de pognon, une démonstration d’indignité sur fond de gaz et de pétrole. C’est ça le football que vous voulez léguer à vos enfants ? Désolé de ne pas m’enthousiasmer devant cette farce à 10 milliards ! Quant à l’indécence de Nasser qui célèbre la victoire comme s’il venait de remporter le semi-marathon d’Alençon. J’ai juste envie de vomir devant cette mascarade. Rendez-moi mon Football Circus ! Laurent Paganelli (Canal+) : Pep, una partida muy difficile por tu equipa. Como explicar los quatros goales del PSG ? Muy inquieto para la qualification ? Obligationnes de gagnar la proxima semana contre Brugga ? Haaland toujours un gran jugador ? No es possible de continuar la Champions League sans una granda formation como City. En tout cas, on vous le souhaite. Eric Di Meco (RMC) : L’histoire retiendra que pour leur meilleur match européen sous Luis Enrique, les joueurs du PSG portaient un maillot bleu olympien. Si vous n’y voyez pas un hommage au plus grand club français de ces 50 dernières années, je n’y comprends plus rien. Grégory Schneider (Libération) : Qui pouvait penser que le PSG serait meilleur sans Neymar ? Qui pouvait imaginer qu’il pourrait battre Manchester City sans Messi ? Qui oserait affirmer qu’il marquerait plus de buts sans Mbappé ? Quand tu recrutes autant de flûtes, tu postules à la chorale de l’école, pas au grand philarmonique de Vienne. Luis Enrique est un professeur de musique de maternelle, pas le grand chef d’orchestre que certains essaient de nous vendre. Et ce n’est pas cette victoire heureuse contre un Manchester à bout de souffle qui me fera changer d’avis. Vincent Duluc (L’Equipe) : Sous une pluie battante et incessante, d’abord porteuse d’espoir puis rapidement annonciatrice d’une catastrophe industrielle à la hauteur des investissements colossaux d’un actionnaire aux caprices parfois insondables mais souvent destructeurs, dans ce Parc des Princes vibrant comme rarement ces derniers temps mais capable de faire trembler n’importe quel adversaire qui plus est fébrile comme peut l’être ce Manchester City fuligineux de ces derniers mois, ombre du géant qui terrorisait l’Europe il y a encore seulement un an mais qui n’inquiète finalement plus grand-monde à part peut-être un Pep Guardiola que l’on pensait immarcescible, entraîneur génial enfermé dans des capucinades et sans solution face aux problèmes proposés par son disciple supposé, un Luis Enrique abstrus fidèle à ses idées et qui a réglé le débat de l’avant-centre en validant l’idée qu’un faux neuf serait toujours plus efficace qu’un vrai, une conception lunaire à l’heure des grands buteurs mais que le coach espagnol refuse d’évoquer tel un homme politique irréfragable acculé fuyant tout débat et répondant à côté des questions, preuve supplémentaire que ce PSG coruscant ne sera finalement jamais un club comme un autre même s’il a retrouvé une forme de normalité hier soir en réintégrant le club des potentiels concernés par un printemps européen, une formalité diront certains mais un parcours du combattant pour ce Paris trop jeune pour faire parler l’expérience mais suffisamment insouciant et oblatif pour emmener avec lui toute une frange de supporters séduits et forcément impatients de découvrir la suite de cette magnifique aporie. Frédéric Antonetti (Canal+) : Un, deux, trois, quatre… Excusez-moi, je comptais juste les buts du PSG. Fred Hermel (RMC) : Ola chicos. Le PSG quatre buts. Le Real cinq buts. Rendez-vous dans deux ans pour faire le point. Thibault Vézirian (Communiqué TV) : Cette défaite de Manchester City face au PSG passe très mal à Abu Dhabi. Je peux même vous révéler en exclusivité qu’un communiqué est en cours de rédaction sur demande du président de City. Damien Degorre (L’Equipe) : Quelle soirée de merde ! On est passé en 30 minutes d’un PSG aux portes de l’élimination à une équipe qui renverse City et qui pourra se qualifier dans une semaine en cas de nul à Stuttgart. Y’a vraiment des jours où on ferait mieux fait de rester dans son lit. Daniel Riolo (RMC) : Il faut vraiment être un PSgix biberonné aux mensonges de Nasser et aux choix tactiques douteux du Géo Trouvetou espagnol pour s’enflammer après une victoire contre le pire City de ces 30 dernières années. Ce clubisme aveugle me rend malade. Le niveau de connerie au sommet. On verra si Bambi et ses petits copains feront autant les malins face à Liverpool ou Barcelone. Je vous aurai prévenus. Omar Da Fonseca (beIN) : No Messi, no party. Nabil Djellit (L’Equipe) : Grosse prestation du PSG mais je reste sur ma faim avec ce but refusé à Hakimi pour un hors-jeu de quelques centimètres de Nuno Mendes. C’est vraiment le tournant du match à mes yeux. Le truc qui fait que cette soirée ne peut pas rentrer définitivement dans l’histoire du PSG car il me manque un truc au final. Jérôme Rothen (RMC) : J’entends beaucoup de commentaire sur l’énorme ambiance au Parc des Princes hier soir mais croyez-moi, ce n’était rien en comparaison du bruit des tribunes en janvier 2008 quand j’ai envoyé un missile dans la lucarne du gardien de Metz. Ce jour-là, j’ai su ce que ça voulait dire d’être l’idole absolue d’un stade et d’une ville. Johan Micoud (L’Equipe) : Joao Neves désigné homme du match ? Je ne l’ai pas vu moi. Il a fait quoi votre Verratti du pauvre ? Il prend le ballon, il contrôle, il fait des dribbles sur lui-même ? A Brest, j’ai vu Camara techniquement faire des trucs propres. La technique, c’est aussi faire des passes sur 30 mètres. Apparemment, Joao Neves doit faire progresser le PSG. Ok, si vous le dîtes… Miloud (PSG Community) : On a pu consulter des documents confidentiels donc on peut vous confirmer la stat’ suivante : le PSG a réussi 200 passes dans le camp adverse et 50 dans les 25 derniers mètres. Rolland Courbis (RMC) : Je ne veux pas faire une phrase compliquée donc ne compliquons pas la complication. Mais ma modeste expérience, et je m’excuse de le dire car je sais qu’on peut se tromper même à mon âge et il faut avoir conscience qu’on apprend tous les jours de ses erreurs même si je ne dis pas que je me trompe en ce moment, m’incite à imaginer que le PSG va se qualifier pour les barrages. Gilles Favard (ex L’Equipe) : Je peux vous révéler en exclusivité ce qu’a dit Bernardo Silva à Pep Guardiola quand il a vu pendant la pause que Dembélé rentrait. Il lui a dit : « Mierda di mierda » ! Raymond Domenech (L’Equipe) : Je suis passé devant l’hôtel du Crillon quelques heures avant le match et j’ai vu que le bus de Manchester City était garé sur le parking. Et là, je ne sais pas pourquoi mais j’ai eu le sentiment que les Anglais allaient passer une sale soirée au Parc des Princes. Comme quoi, j’ai un truc particulier avec les bus, allez savoir pourquoi. Margot Dumont (Canal+) : მოგესალმებით ყველას, მატჩზე საუბრის დრო არ მაქვს, რადგან ამ შაბათ-კვირას პარკში ხვიჩა კვარაცხელიას პრემიერაზე ქართულს ვსწავლობ. Ah pardon, je disais juste que je n'avais pas le temps de parler du match car je suis en plein apprentissage du géorgien pour la première de Khvicha Kvaratskhelia au Parc ce week-end. Laure Boulleau (Canal+) : Ce que je pense, enfin c’est mon avis et c’est ce que je j’estime, du moins c’est ce qu’il me semble, c’est que quand City menait 2-0, le PSG était en train de perdre ce match. Mais à la fin, avec quatre buts pour Paris et seulement deux pour les Anglais, c’est bien le PSG qui s’est imposé. Du coup, comme Paris est 22eme du classement, il n’est plus en position d’être éliminé mais s’il termine 25eme la semaine prochaine, alors il sera éliminé. Bruno Salomon (France Bleu Paris) : Une rotule... putain... une fucking rotule. Une saleté de… GOALLLLLLLLLLL ! GOALLLLLLLLLLL !!!! GOALLLLLLLLLLL ! GOALLLLLLLLL ! Christophe Dugarry (RMC) : Franchement, je m’en tape de savoir qui de Luis Enrique ou de Pep Guardiola a remporté la bataille tactique. La vérité, c’est que ce sont deux petites salopes qui m’ont fait vivre un enfer pendant ma saison au Barça car ils ne voulaient pas que je fasse de l’ombre à leurs potes. Je suis bien content que ce con de chauve ait pris une rouste mais ça me fait encore plus chier que Luis Enrique ait gagné. Au final, ce sont deux grosses merdes ! Pierre Ménès (La Baule) : Mon avis sur la victoire du PSG ? Pour le connaitre, je vous invite à regarder ma dernière émission de Face à Pierrot sur Youtube. Avec en bonus une vidéo d'Edinson en train de creuser un trou dans le jardin. Stéphane Pauwel (ex Equipe) : Je suis en contact donc je vous mets mes deux jambes et mes deux bras que le PSG s’incline à City lors du match retour. Eric Blanc (L’Equipe) : La deuxième mi-temps du PSG, c’est une œuvre d’art, un hommage à nos soirées de collégien. T’as pris un râteau mémorable sur le premier slow, tous tes copains se foutent de ta gueule mais tu restes confiant et tu finis par rouler une pelle à la plus belle fille de ta classe en l’emballant pendant la dernière danse. Eric Rabesandratana (France Bleu Paris) : Ce que je retiens de cette soirée, c’est que le PSG n’a pas plongé après les deux buts de City. Et pourtant, c’est facile de plonger dans ce stade. Si vous voyez de qui je veux parler. Emmanuel Petit (RMC) : Je sais qu’il faut rester prudent avant le dernier déplacement à Stuttgart mais je ne vois pas trop comment le PSG pourrait ne pas se qualifier. Affronter des Allemands en début de campagne, c’est toujours compliqué. Mais quand tu les prends sur la fin, c’est tout de suite beaucoup plus simple. Rappelez-vous 1944 hein ! Alexandre Jacquin (La Provence) : Trois défaites pour Paris en Ligue des Champions. Aucune pour l’OM. Cet hiver 2025 marque un tournant dans le foot français avec une équipe de Marseille en pleine reconstruction alors que le PSG est en train d’imploser. Mickael Landreau (Canal+) : Je n’ai jamais imaginé que le PSG puisse être sorti de la Ligue des Champions lors de cette phase de poule. Et croyez-moi, je m’y connais en sortie de merde. Pia Clemens (France Bleu Paris) : Ce PSG a encore franchi un cap et je suis sûre qu’il va encore progresser avec l’arrivée de Kavatalia, Kravatsila, Karavila, Kvatarisha, Kvatarishela…. Oh bordel, avec le petit Géorgien quoi. Alexandre Ruiz (Free) : On se retrouve tout de suite sur l’appli Free pour débriefer ce PSG – Manchester City en toute transparence et de manière la plus objective possible. Avec évidemment plusieurs questions auxquelles on répondra : le PSG vainqueur chanceux ? Une victoire qui ne servira peut-être à rien en cas de défaite à Stuttgart ? Luis Enrique s’est-il trompé en ne faisant entrer Dembélé qu’à la pause ? Ramos aurait-il dû être remplacé après son duel perdu ? Nuno Mendes sera-t-il sanctionné financièrement pour son marquage sur le premier but de City ? Vitinha et Neves, un duo trop petit pour briller durablement ? Fabian Ruiz souffre-t-il d’un trouble psychomoteur ? Doué est-il adapté au haut niveau ? Faut-il renvoyer Lee en Corée du Sud par le prochain Charter ? A-t-on vu le pire City du siècle et quel crédit peut-on accorder au PSG ? Luis Enrique, une victoire en trompe l’œil ? Sans oublier notre avocat spécialiste du droit du travail qui a calculé le coût d’un limogeage en février du coach espagnol. Tout cela sans partie pris et en restant optimiste malgré tout. Sidney Govou (Canal+) : Grosse ambiance au Parc hier soir mais je peux vous dire que ce n’était rien en comparaison de la soirée qu’on a passée au Pamela. Adil Rami (TF1) : Il y a vraiment le feu dans cette équipe de Manchester City. Donc si Guardiola cherche un défenseur solide et capable d’éteindre un incendie, il sait à qui s’adresser. Jonathan MacHardy (MMA TV) : Cette équipe du PSG a clairement besoin d’un buteur, un tueur de surface capable de marquer 30 buts par saison. Je ne comprends pas pourquoi Campos ne se penche pas sur Miguel Velasquez, le Vénézuélien du Deportivo Anzoátegui. Bertrand Latour (Canal+) : La victoire du PSG ? C’était nul ! L’ambiance au Parc et la communion avec les supporters ? Nul aussi. Neves ? Nul. Dembélé ? Nul ! En fait, tout a été nul, à commencer par Guardiola et son équipe. Je ne comprends même pas qu’on puisse trouver des points positifs à cette soirée. Non vraiment, c’était… comment dire… nul ! Pascal Praud (Cnews) : Ce PSG-City entre deux équipes qui appartiennent au Qatar et à Abu Dhabi, quelle image déplorable pour le football. Mais vous voulez que je vous dise la vérité moi ? Car personne n’osera vous la dire. Je vais vous la dire moi car sur Cnews, on est libre de nos opinons : le Qatar qui achète le PSG, c’est juste le fruit d’une politique migratoire laxiste depuis des dizaines d’années. Notre pays est complètement déconnecté de la réalité. On a laissé des milliardaires acheter nos hôtels, nos monuments, nos emblèmes, nos clubs… Quelle indignité. Mais ça, ils ne le diront pas chez Quotidien ou sur France Inter. Où est donc passée la France de mon enfance, la France qui se lève tôt pour travailler, cette France respectueuse de son histoire et de ses traditions, la France de Charles Aznavour, d’Édith Piaf, de Barbara ou de Charles Trénet ? Et que fait Emmanuel Macron ? Rien, il a invité l’émir du Qatar à diner à l’Elysée. Je suis écœuré ! Bonus Paradis Didier Roustan : On a regardé le match avec Diego et Johan, c’était vraiment une belle soirée de football. Bon, on n’était pas non plus devant un Brésil-Italie 82 ou un Hollande-RFA 74 mais ce n’était pas si mal que ça. Surtout avec des mecs comme Fabian Ruiz et Lee sur la pelouse. Ces deux-là, ils nous font bien marrer ici. Même Frantz qui fait toujours la gueule était plié de rire. Allez, la bise à tous. Vous me manquez mais on se reverra un jour ou l’autre, c’est promis #PSGMCI #ChampionsLeague #Neves #LuisEnrique #PSG #Nasser

🔊 Il est temps de revivre les buts du PSG face à Manchester City en version @iciparisidf avec les commentaires de @bruno_salomon et @ERabesandratana Quelle soirée renversante❤️💙

C’est avec le cœur plein de souvenirs que je clos ce chapitre de ma vie. Merci pour cette magnifique aventure tricolore et à bientôt. 🇫🇷

Comment la ligue ne peut rendre hommage à Didier Roustan avec une minute de silence avant les matches du jour? Incroyable pour un homme si amoureux du football…pensée spécial à @TV5MONDE ou Didier commentait depuis tant d’année. Merci à @ERabesandratana de prendre le relais